Le blog de rienquepourmater
J'ai osé... à Ibiza
Comme souhaité, je suis retourné à la plage gay d'Ibiza, avec l’intention de mâter et de me rincer l’œil, un max… Mon ami ayant préféré rester à l’appart, j’ai pris mon courage à deux mains, et j’y suis donc allé seul…
Par simplicité et pour ne pas me perdre et rencontrer un méchant loup… j’ai choisi le même emplacement. Je n’ai pas reconnu de mecs déjà vus, mais la moyenne d’âge n’avait pas changé… la cinquantaine et plus, et selon les anatomies « sexe », que des allemands rasés et non circoncis…
Je m’installe donc à côté (1,5/2 m) d’un mec seul… et comme il était encore tôt et donc pas très garnie, cette plage, j’entreprends de lire le magazine que j’avais amené…, et ce, plus assis que couché, ce qui me permettait de jeter un œil discret et intéressé de part et d’autre…
Lors d’un de mes tours d’horizon, oh surprise ou coïncidence heureuse, je me suis rendu compte que mon voisin le plus proche lisait un bouquin en français… et alors même que je m’en rendais compte, lui me regardait et m’a souri, j’ai fait de même, lui aussi avait du se rendre compte que j’étais français… C’est alors qu’il se leva et s’approcha de moi : « T’es français, ici, on est plutôt à effectif réduit », je n’ai pas été capable de lui répondre, j’étais médusé… j’étais assis, lui debout avec son sexe à la hauteur de mes yeux… J’ai dû juste lui sourire… « Je peux me mettre à côté de toi »… Sans même m’en rendre compte, je lui ai répondu : « oui, si tu veux »… et il alla chercher ses affaires.
Petite pose pour le décrire… Il devait avoir autour de 30 ans, peut-être un peu plus, de bonne stature, bien fait, pas trop de muscu, tout à fait imberbe, pas bedonnant ou si peu, le sexe et le pubis bien rasés et lisses… Sa queue et ses couilles faisaient un bel ensemble, couilles pleines quelque peu pendantes, mais pas trop, on voyait le dessin et la forme de ses boules, bref de belles couilles lisses et prometteuses d’un bon jus… Sa bite, toute lisse aussi, je pense au moins 8/10 cms dans cet état de repos, donc dans la norme… sa tige était bien régulière, sans veine disgracieuse… avec un beau prépuce qui recouvrait son gland, tout en laissant deviner sa forme et son volume, tout à fait respectable… et une petite pointe de prépuce, je te dis pas…
Quant au verso, que j’ai pu bien voir lorsqu’il alla chercher ses affaires, un dos large surplombant des fesses bien rebondies mais fermes, le tout sans poil, même les jambes, sans toutefois que l’on puisse penser qu’il était épilé…
Tu l’as compris, il me plaisait bien, dire qu’il me fascinait est un peu exagéré, mais si peu…
A son retour, il s’assit, puis se coucha sur le dos, prenant appui sur ses avant-bras… je fis de même. Dans cette position, l’un et l’autre pouvait se mâter et mâter l’autre, comme moi, il avait les jambes peu écartées, si bien que nos paquets et nos bites reposaient sur l’intérieur de nos cuisses… Une vue agréable, moi, ma petite bite en pointe, et lui, sa bite qui se repose sur ses couilles. Comme nous n’étions pas encore allés à l’eau, nos couilles respectives étaient plutôt molles et on voyait bien le dessin de nos boules…
« J’aime bien ta petite bite »… « Oui, elle me plait aussi, je la trouve plutôt mignonne… Quant à la tienne, je la trouve aussi bien belle… ». A vrai dire, j’étais moi-même surpris de lui répondre ainsi, sans véritable gêne et surtout, d’une façon spontanée, je dirai même, non réfléchie. Il n’a pas enchaîné… moi, non plus…
Il prit son bouquin, moi, mon magazine, et nous sommes restés, ainsi quelques longues minutes….
C’est lui qui prit l’initiative… « Je vais à l’eau, tu viens ? » - « Ok »… Souhaitant encore mâter son dos/arrière, je lui laisse prendre les devants… mais avant cela, il se mit à genoux, ce qui me permit d’avoir une vue délicieuse sur ses couilles pendantes er son petit bout qui dépassait… Vraiment magnifique son cul, je pense que c’est la position, mais ses fesses étaient à peine serrées, et je pouvais deviner son petit trou, en tout cas, tout poil en était absent…
Je le suis donc… pour profiter de la vue…
Avant d’y rentrer, il m’attend au bord de l’eau et nous y rentrons côte à côte, comme la pente y est douce il nous a fallu plusieurs mètres pour que l’eau nous arrive aux genoux, et encore quelques uns pour que nos couilles commencent à être caressé par les petites vagues… et encore quelques uns, et nous avions de l’eau jusqu’à la ceinture…
Comme d’hab, au contact de l’eau, mes couilles se sont resserrées… et ma petite devenir encore plus petite… L’eau était si claire qu’il me fut aisé de constater que l’eau avait le même effet sur ses couilles, que chez moi, quant à sa bite, elle restait bien conséquente…
Sans même m’en rendre compte, comme je le fais souvent dans l’eau, je me suis décalotté… Il s’en est bien sûr aperçu : « Il est super gros ton gland »… gêné, instinctivement, ma main se porta à mon sexe pour le cacher… « Sois sympa, montre, je t’assure, il est vraiment gros, je ne pensais pas qu’on pouvait avoir un tel gland avec une si petite bite »… et en même temps, il s’était rapproché de moi, si bien que j’ai dû m’exécuter… je fis même mieux, profitant d’un creux d’une vague, et me mettant sur la pointe des pieds, je lui ai présenté, pendant quelques secondes, tout mon paquet…. « Regarde, comme le mien est petit », et joignant le geste à la parole, il se décalotte, met sa main sous sa bite et offre à ma vue, son petit gland tout rose… Là, je t’avoue que j’étais plutôt gêné… et comme un flash, je me suis demandé où cela allait m’amener… Reprenant mes esprits… je décide de sortir de l’eau et de retourner sur ma serviette… Il fait de même… Avant de m’asseoir ou de m’allonger, j’ai l’habitude de rester quelques minutes debout, pour me faire sécher par le soleil et en profiter pour mâter les alentours… Je n’ai donc pas renoncer à ce petit plaisir, d’autant plus que j’avais pas envie de faire tout comme lui… Lui se coucha, comme précédemment, sur ses avant-bras, dès son arrivée.
Après quelques tours d’horizon, inconsciemment ou peut-être pas, avant de choisir ma position, je me suis retrouvé, accroupi, les jambes écartées, avec mon sexe exposé à sa vue, à moins de 70 cms… M’en rendant compte, j’ai vite changé de position pour prendre la même que la sienne…
Nous sommes donc, de nouveau, côte à côte : « Moi aussi, j’aime bien mâter » - « Oui, c’est sympa, et nous en voyons de belles ». Pendant quelques minutes, nous restons silencieux…. « J’aimerais bien voir ta bite bander »… Je craignais cette question, donc, je n’en fus pas surpris et j’avais préparé ma réponse : « Tu rêves, avec ces gars autour qui nous mâtent, je pourrais pas »… Et pour interrompre cet échange, je me couche sur le dos et prends mon magazine…
Comprenant mon message, il fit de même. Après plus d’une demi-heure de bronzette et de lecture, c’est lui qui interrompit, de nouveau, notre silence : « J’ai chaud, tu viens, on va se baigner ». C’était aussi mon avis : « Ok », et nous nous sommes levés et pour moi, de nouveau, le plaisir de voir ses belles fesses lisses et fermes et son paquet qui y pendait… admirables, ses couilles molles avec ses deux boules…
Nous allons à l’eau et comme la progression est lente, nous marchons côte à côte, tout en nous souriant, de temps en temps…
L’eau douce, chaude à souhait, très transparente sans trop de vagues, nous arrive à la taille… et nous avons tout loisir de nous mâter réciproquement, ma petite était déjà encore plus petite, mes couilles, sous l’effet de la fraîcheur s’étaient resserrées… Pour lui, c’était de même, et je ne voyais pas bien ses couilles, je les devinais remontées vers sa tige qui, elle aussi, s’était rétrécie, mais cherchait l’horizontal…. « Tu bandes »… « Non, c’est l’eau qui te donne cette impression, elle veut flotter »…et… après un sourire et un regard complice « Tu veux te faire bander »… Seuls, au milieu de l’eau, il m’était difficile de lui sortir le même argument… j’en trouvais donc un autre : « Je crois pas que je vais y arriver, avec cette eau fraîche »… « On essaie »… et lui avait déjà sa main sur sa bite et commençait à se branler…. Il me fallut donc faire de même et à ma surprise, ça marchait… En fait, je pense que le voir se branler à 20 cms de moi, c’a dû m’exciter et, je sentais à chacun de ses va-et-vient, l’action de l’eau mouvementée qui venait frapper mes couilles. Je pense que pour lui, ce fut de même… C’était bon… et très rapidement, en tout cas, plus vite que je ne l’aurais cru, j’ai eu une belle érection, et je lui ai présenté ma bite, bien à l’horizontal, d’abord avec le gland recouvert, puis décalotté… « Oh là, elle est super belle et super grosse… je suis surpris qu’une aussi petite queue, au repos, puisse autant grandir et grossir… Elle fait bien 3 ou 4 fois sa taille… »… « Oui, je sais, en érection elle fait 13 cms, 15, les bons jours, et son diamètre dans cet état, est tout à fait correct… ».
Quant à lui, il me présentait sa bite bien lisse, qui avait pris aussi quelques cms, mais il est clair que c’est moins spectaculaire que pour moi, puisque je pars de plus bas… Elle m’attirait vraiment, j’avais une folie envie de la toucher, de la prendre en main, de lui caresser ses couilles toutes dures… mais j’ai pas osé… et comme je ne m’occupais plus de la mienne, bien vite, elle reprit son état, au repos…
Nous avons fait encore quelques flexions dans l’eau pour nous mouiller jusqu’aux épaules… et nous avons repris le chemin de la plage.
Comme d’hab, en arrivant à ma serviette, je ne m’assois pas tout de suite. Lui fait de même, et en un éclair, je me dis, que va-t-il faire… Et, en attrapant ma main, il dit : « Viens, on va faire un tour dans les dunes ». Oui, je fus surpris, c’était le premier contact tactile que nous avions… Oui, je n’avais pas envisagé une telle demande… Il est clair qu’inconsciemment, cela faisait partie de mes désirs, surtout que je n’ignorais pas ce que signifiait son désir d’isolement… et comme il avait pris ma main, il m’était difficile de m’échapper et ce, d’autant plus que je ne le souhaitais pas… Je n’ai pas eu besoin de répondre, déjà, la main dans la main, nous marchions vers les dunes… Enfin, il me lâcha, mais j’avais nulle envie de faire demi-tour… On quitta le chemin, et encore quelques enjambées, et nous étions en pleine nature, à peine cachés par quelques arbustes… Etant donné mon expérience = 0, dans ces aventures, tout en marchant, je m’étais dit que j’allais lui laisser prendre l’initiative de la suite, et qu’il serait temps de réagir si cela prenait une tournure que je ne désirais pas…
J’ai vite repéré une petite dune qui me semblait bien pour y être assis-debout… je m’y installe donc, et je le regarde, droit dans les yeux, en lui souriant, mais lui était déjà, en train de tomber, sous les genoux en ayant son visage à 30 cms de mon sexe… « Laisse-moi faire »… Remarque inutile, il me semble que mon attitude pouvait lui faire comprendre que j’étais à sa merci et que mon souhait était bien que l’initiative lui appartienne… Je n’ai pas répondu… Mon attitude même était une réponse… : J’étais donc assis-debout, mes jambes-cuisses légèrement écartées et mes pieds bien ancrés sur le sol.
J’étais tout à lui, en quelque sorte, je lui offrais tout mon corps… Et c’est alors qu’il sut augmenter mon désir et m’apporter de bien bonnes sensations… Tout doucement, ses deux mains se sont rapprochées de l’intérieur de mes cuisses, pour y remonter, en frôlant à peine, en caressant à peine, ma peau toute lisse… Quant il arriva à la hauteur de mes couilles, encore serrées par leur passage dans l’eau, il est clair que ma bite avait déjà pris du volume et de la longueur, mais pas une érection totale… Alors, ses mains quittèrent cette zone, pour venir se mettre sur ma taille et remonter sur mes flancs… douce caresse que je ne connaissais pas, très agréable, qui me procurait des minis frissons de satisfaction.
Il arriva à la hauteur de ma poitrine et de mes tétons dont il commença de caresser la couronne, de me les malaxer avant d’en prendre un dans chaque main et de commencer à les titiller. En fait, pour lui, ce n’était pas aisé, car mes tétons sont très petits, mais il y parvint et il sut les faire grossir quelque peu…
Ce petit jeu dura quelques minutes…Je ne sais combien… La seule chose que je savais, c’est que c’était bon et qu’il savait y faire… Très rapidement, j’ai donc perdu toute appréhension, et je me suis laissé aller, je l’ai laissé faire, j’avais même envie de fermer les yeux pour mieux savourer ces moments d’excitation, mais en même temps, je voulais voir…
Voir quoi, d’abord notre environnement… désert… et aussi, lui, son visage épanoui et détendu, avec un petit sourire permanent (que je lui rendais)… et aussi, bien sûr, son entre-jambe et sa bite, pas encore très dure qui faisait des soubresauts… il est clair qu’il apprécié sa prestation presqu’autant que moi… au moins, c’est ce qui m’a semblé…
Après cette phase plus érotique que vraiment sexuelle…, mais qui préparait bien une suite… Sa main gauche quitta mon téton, pour aller prendre mon paquet de couilles par le dessous, comme pour le soupeser… Cette attention bien agréable a eu pour effet de provoquer en mon sexe, une excitation extrême qui me procura la bonne et belle érection que j’attendais et que lui aussi espérait, je pense… Pendant quelques minutes, avec douceur, il joua avec mes boules, les faisant rouler, chose pas trop aisée, compte tenu du fait qu’elles étaient, maintenant, resserrées et en train de remonter, sous l’excitation provoquée.
Malgré son excitation, ma bite ne s’était pas décalottée, mais on pouvait y deviner et voir le dessin de mon gland qui, lui aussi, était bien gros et excité…
Mon souhait aurait été de me laisser aller et de fermer les yeux… mais en même temps, j’étais désireux de voir et faire participer ma vue à mon plaisir, à notre plaisir.
Sans rien me dire, sans rien me demander, il prit dans sa bouche mon gland encore calotté, rien que mon gland… et c’est alors que sa main droite quitta mon téton, pour venir se fixer sur ma tige raide, et tout doucement, en gardant compressé mon gland, il tira sur la peau de ma bite, pour libérer doucement et progressivement mon gland dans sa bouche… Que c’était bon, à mon souvenir, aucun de mes précédents partenaires ne l’avaient fait avec autant de douceur, et je pense que le fait que j’étais assis-debout, contribuait à bien mettre en avant mon sexe pour l’offrir à ses manipulations… Il tira bien à fond, la peau de mon pénis et comme, maintenant, mon frein que j’ai sectionné, est inexistant, cela s’est fait sans aucune douleur, même quand il est parvenu à une traction maxi.
Mon gland était donc bien dégagé, légèrement compressé dans sa bouche chaude, c’est alors que j’ai senti sa langue qui cherchait à caresser la couronne de mon gland… Oh là là, que c’était bon, j’ai cru que j’allais m’évanouir, je savais que c’était bon, mais le bougre, il savait faire et il prenait son temps… ce n’était pas, lui, un novice… et comme il avait toujours dans sa main gauche, mes couilles, son mouvement de langue était coordonné avec ses pressions et les roulements qu’il affligeait à mes boules… Oh oui, que c’était bon… je le dirai jamais assez… et il n’arrêtait pas, pas même pour reprendre son souffle ou pour s’assurer de l’état dans lequel il me mettait… mais il ne pouvait pas l’ignorer car, parfois, je frissonnais et je ne pouvais m’empêcher de lui susurrer à voix basse, « que c’est bon », sans lui dire « continue », mais c’était inutile, il me semblait pas vouloir se priver et me priver… Je pense que me voir apprécier sa prestation, lui plaisait bien aussi, et maintenant, sa bite était bien raide et même remontait vers son pubis tout lisse, mais son gland était encore calotté… J’aimais le voir ainsi, c’était pour moi, le signe visible de sa satisfaction et du fait qu’il me faisait toutes ces gâteries sans aucun sentiment d’obligation…
J’aurais aimé que cela dure éternellement, mais ma raison me disait que c’était impossible et qu’il fallait me contenter du moment présent…
Il était toujours à genoux, devant moi, et ses deux mains et sa bouche s’occupaient de mon sexe et de m’apporter une (la) jouissance que maintenant je redoutais, tant j’aurais voulu que cela dure…
Sa langue jouait toujours avec mon gland et se promenait, avec délice (pour moi et pour lui, je pense) à travers les plis de mon prépuce. Chacun de ses passages sur la couronne de mon gland et sur ses capteurs de sensation, c’était pour moi, une décharge de plaisir… C’est alors qu’il commença à me branler doucement, mais il se rendit, bien vite, compte que c’était inutile, tant j’étais déjà raide et que poursuivre était dangereux s’il souhaitait continuer ses gâteries… sans me provoquer une éjaculation…
Je serais incapable de te dire combien de temps, cela dura, tant c’est doux et intense à la fois… il savait ralentir, faire de mini poses, au bon moment, afin que cela ne soit pas douloureux, afin que cela ne provoque pas l’inévitable…, l’irréparable…
Arrivés à ce stade de jouissance quasi permanente, je me suis dit que j’étais bien un ingrat, et j’ai donc, en me penchant un peu en avant, entrepris de lui caresser la poitrine… certes, je voyais rien, puisque lui-même était penché sur mon sexe, mais, il ne m’a pas été difficile d’atteindre et de caresser ses pectoraux bien dessinés et en saillis… Je voulais lui rendre un peu ce qu’il me donnait, mais, en même temps, je me rendais compte que ce n’était pas bien, car les caresses que je lui faisais, certes il devait aimer, mais elles m’excitaient aussi… « Excuse, je peux pas continuer, ça m’excite trop »… Sans même libérer ma bite, il leva les yeux qui, je les compris, me disaient… « C’est pas grave »…
J’aurais voulu que cela dure, mais maintenant, c’est toute ma tige qui était dans sa bouche et qu’il me branlait, toujours avec autant de douceur en compressant ma bite, à chaque va-et-vient, juste ce qu’il faut, pour que cela soit bon et non douloureux…
Je n’avais plus aucune notion du temps, je me suis même (hélas) surpris à fermer les yeux… C’est ce que je ne devais pas faire, je le savais, et pourtant…
C’en était trop, je sentais que cela venait, que bientôt, je ne serais plus maître de moi-même… J’ai eu la force de dire : « Ca vient »… Sans précipitation, me sembla-t-il, sa bouche et ses lèvres quittèrent ma tige, libérant ainsi mon gland… Je sentis que sa main continuait un doux va-et-vient, mais je pense qu’il n’a pas pu faire plus qu’un aller et retour…
Toujours en douceur, il dirigera ma tige, super excitée, prête à exploser… vers mon torse… et une première giclée vient s’écraser sur mon épaule, une seconde suivit, plus courte, et maintenant, par spasmes réguliers, mon sperme continuait à se répandre sur ma tige bandée et entre ses doigts… car il savait faire le bougre, et après un arrêt de quelques fractions de seconde, il avait repris, avec délicatesse et douceur, son malaxage de mes couilles et quelques mouvements de pompage de ma bite…
J’ai cru que mon orgasme n’allait pas s’arrêter… mon sperme ne coulait plus, mais les spasmes continuaient et son action les entretenait… Il était super doux ce gars, il savait vraiment y faire, c’est clair que c’est un pro de la bite… et qu’en plus il aimait ça…
Enfin, tout doucement, je repris mes esprits… il était toujours à mes genoux, il avait toujours en main mon sexe qui commençait à lui échapper et à quitter son état d’excitation… il me regardait, il me souriait… il constatait que j’étais heureux… il me disait rien, moi, j’en étais encore incapable, je lui souriais…. « Je peux »… et sans attendre ma réponse, il se pencha sur ma poitrine, pour, avec sa langue, récolter les quelques coulées de sperme de ma seconde giclée… Je le laissais faire…
Enfin et hélas… il me lâcha, se leva, et vint s’asseoir à côté de moi… Ma bite, repue, encore tout imprégnée de sperme, était maintenant au repos… La sienne avait, aussi, repris cet état, mais j’y voyais un filet de précum s’en échapper… J’ai rien dit, mais j’y ai dirigé mon doigt et s’en même le toucher, j’ai recueilli son précum et je l’ai apporté à mes lèvres… Il sourit… et nous sommes restés ainsi quelques minutes…
« Tu sais, tu es un super gars, j’ai déjà sucé, dans ma vie, pas mal de mecs, mais aucun a duré aussi longtemps… Je voyais bien que tu aimais ça, j’ai bien senti, plusieurs fois, que tu allais jouir, mais tu as su te retenir, et pour moi, ça était aussi super, car j’aime bien sucer et que cela dure longtemps… T’as vu comme j’étais, moi-même, excité, ma bite n’a pas cessé de palpiter et de produire du jus… C’était super, t’as été super… »
« Tu sais, je suis plus vieux que toi, mais en matière de sexe entre mecs, je suis très novice, j’ai eu quelques relations, mais ce que tu m’as fait, jamais je ne l’ai connu auparavant, tu as été si doux et si puissant en même temps… J’ai vite compris que tu savais faire, aussi, je me suis laissé aller, pensant bien que tu n’avais pas d’intentions mauvaises à mon égard… Oh oui, j’ai aimé et ça se voit, regarde comme petite, elle est encore gonflée… Je veux et vais te rendre la pareille, mais je crains ne pas être à la hauteur… ».
« Fais comme tu le sens, mais te crois pas obligé, tu sais, j’ai déjà passé un bon moment »…
« Oh non, j’ai aussi envie de toi, et de bien te pomper, j’aime bien sucer, et on m’a dit que je savais faire, mais je suis loin de t’égaler… J’ai bien appris, aujourd’hui… Si tu veux, tu pourras même jouir dans ma bouche, j’aime, si tu aimes… »
Comme pour m’y encourager, d’une main, il prit sa bite…, l’autre, il la passa sur mon cou et il appuya sur ma nuque pour que je me penche…
La position étant mal aisée, avant même que je m’approche de sa queue, je me mis à genoux, comme lui, l’avait fait.
Me rendant compte qu’il semblait vouloir bander, j’ai retiré sa main, pour y mettre la mienne, et de mon autre main, j’ai pris ses couilles qui étaient encore bien molles… Superbes, ces boules, bien grosses et très mobiles pour le moment… J’aime bien malaxer les boules d’un mec, assez doucement, tout en étant assez actifs, en essayant de ne pas lui faire mal… Il semble apprécier et j’ai senti sa bite qui se redressait encore plus… Je ne l’avais pas encore décalotté, mais son précum s’en échappait et les mouvements que maintenant, je pratiquais, étaient grandement facilités par cette lubrification naturelle… Pendant quelques minutes, avec douceur, j’ai fait quelques va-et vient, en faisant attention de faire apparaitre le bout de son gland, sans toutefois le décalotter entièrement… Sentant que sa consistance devait être pas loin de son maximum, je me suis penché pour prendre, en bouche, sa bite.
Je me suis d’abord, intéressé à son gland en y introduisant ma langue afin qu’elle puisse tourner tout autour, sans que pour autant, il se décalotte… J’ai pu, avant même le voir, constater que son gland était tout lisse, sans aspérités sur sa couronne… il avait aussi un frein bien présent, et je me disais… il va falloir que tu fasses attention en le tirant afin de ne pas lui faire mal…
Cà y est, mes lèvres, maintenant, entouraient tout son gland décalotté, et je commençais à essayer d’engloutir toute sa tige… Sans trop de difficulté, j’ai réussi à faire rentrer dans ma bouche ses 15/17 cms et son calibre, aussi gros que le mien… Avec ma langue tendue, j’essayais et réussissais à chatouiller son urètre… il commença à s’agiter… il est clair qu’il aimait… Moi aussi, j’aimais, malgré cette bonne éjaculation, pas si lointaine, ma propre bite reprenait du volume et de la longueur… certes la dureté n’était pas (encore) là…
Mais, lui, il commença à geindre, doucement, puis plus fort, sans aucune retenue… moi, j’étais gêné, et j’ai ralenti mon action sur sa tige et son gland, mais comme lui l’avait fait, j’ai fait en sorte que, jamais, elle ne sorte de ma bouche, je l’ai gardé bien au chaud, reprenant mes petits mouvements de langue pour entretenir son excitation… En le regardant, je me rendis compte qu’il avait fermé les yeux et qu’il s’abandonnait, tout à moi… J’ai aimé, cet abandon et la confiance que cela manifestait, à mon égard…
Pour parfaire mon action, mes mains quittèrent son sexe et vinrent lui caresser la poitrine, les tétons, ses pectoraux musclés… il aima, je l’ai senti… J’avais toujours en bouche sa bite et du mieux que je pouvais, je faisais en sorte d’entretenir son excitation… à aucun moment, je ne l’ai sentie retomber, sa bandaison… Cette situation m’excitait, moi aussi, surtout ses petits râles de satisfaction et sa façon de frissonner et de se trémousser, tout doucement en frottant ses fesses nues sur le sable… Je trouvais cela super bon, j’étais tout moi-même, tremblant, tant j’étais affairé à lui faire le maximum de plaisir…
C’est alors que j’ai libéré une de mes mains pour la descendre sur ses abdos, bien dessinés, et sur son pubis tout lisse… en y exerçant une pression douce, je me rendis compte qu’il râlait, appréciait, encore plus… J’étais perdu, je ne savais plus quoi faire, à chacune de mes gâteries, c’était, de nouveau, une manifestation de sa satisfaction… J’étais très actif et, il faut en croire, très persuasif… mes mains naviguaient sur tout son corps, j’avais dans la bouche, sa bite que je pompais doucement, m’efforçant, à chaque seconde, d’utiliser soit ma langue, soit mes dents, soit les deux, pour varier et accentuer mon action. Par inadvertance, une fois, j’ai laissé échapper sa bite… elle est venue se plaquer sur son pubis… Bien sûr, je l’ai reprise, mais, j’en ai été surpris, pour ma part, avec l’âge, ça fait bien longtemps que même bien excitée, ma bite ne parvient plus à remonter jusqu’au pubis…
Quant à moi, je sais pas trop comment cela s’est produit, mais maintenant, bien qu’étant toujours à genoux, je me trouvais les cuisses écartées et mon sexe, ma bite, dressée un max en avant… et elle n’arrêtait pas de sautiller… j‘avais jamais connu une telle excitation, surtout après une telle éjaculation…
Je m’efforçais de maintenir la pression, assez pour qu’il aime, pas trop, pour éviter que cela cesse… et qu’il éjacule…
Notre jeu que je qualifierai de bien désordonné… se poursuivit pendant de longues minutes…
« Oh, je crois que je vais jouir »… Par le regard, je l’ai imploré avec des yeux qui lui disaient, si tu veux, c’est toi le maître…
« Oui, ça vient »… il tenta de me repousser… en vain, j’étais prêt et j’attendais ce moment. Pour bien lui faire comprendre que je souhaitais recevoir son sperme, d’une main, je lui ai pris les couilles et de l’autre, j’ai retenu sa tige, pour qu’elle ne m’échappe pas…
Superbe sa giclée, je l’ai senti arriver au fond de ma gorge, puis ce fut une seconde, suivie d’une troisième… M’étant arrêté de respirer pour le recevoir, j’allais suffoquer… Combien en avait-il produit ? D’un coup de langue, sans que sa bite sorte, déjà de ma bouche, je lui ai lavé le gland… et je l’ai libéré… J’avais la bouche pleine, et j’étais pris entre le désir de garder ce jus chaud et entre la nécessité de l’avaler, si je voulais sortir de mon état de quasi paralysie… Je décidais donc d’avaler, tout d’un coup, ou presque, en deux aspirations… Pendant ce temps, ma main continua de jouer avec sa tige toujours raide et son prépuce que je ramenais avec délice sur ce gland encore bien rouge et gros… Voyant que cela lui plaisait et qu’il me laissait faire… j’ai repris en bouche toute sa queue que j’ai eu le plaisir de sentir redescendre, alors que je n’avais pu la faire grossir, puisqu’il me l’avait préparée…
Oh que c’était bon, ces instants de détente, après de telles excitations… ma bite avait, aussi, repris une taille plus « honnête »…
Côte à côte, nous sommes restés ainsi, un bon moment… et c’est seulement à ce moment-là que j’ai, du regard, contrôlé notre environnement… Non, il n’y avait pas autour de nous des mâteurs… Ces instants, cet échange, nos jouissances n’ont été que pour nous…
« Et tu m’as dit que tu étais novice… »… « Ben oui, tu dois être la quatrième ou la cinquième bite que je suce… et j’ai 65 ans… »…. « Tu rigoles, c’est pas possible, crois-moi, certes par moment, je savais pas trop où tu voulais en venir, mais ce fut super bon, et rarement, j’ai pris autant de plaisir à être sucé et pompé, je crois que tu as un don… »… et il se mit à rire, je fis de même, et cela a fini de détente l’atmosphère et à nous faire reprendre nos esprits…
« Allez, viens, on va se laver »… et nous en avions bien besoin… Nos corps étaient couverts de sueur, due autant au soleil qu’à nos activités, je pense…
Joignant le geste à sa parole, il se leva, et me tendit la main, pour m’aider à me relever. Elle n’était pas nécessaire, mais j’ai apprécié son geste…
Tout en nous dirigeant vers l’eau, nous avons échangé quelques mots : « Tu sais, ce matin, quand je t’ai abordé, je n’avais pas en tête cette partie… J’étais très content de trouver un français dans cette multitude d’allemands… Mais dès le départ, ta petite bite m’a surpris et je l’ai trouvé bien mignonne, ton tatoo m’a aussi surpris, je me demandais bien quel genre de type tu étais… Quand j’ai vu et senti tes réticences à plusieurs reprises, cela a titillé mon ego… et c’est seulement à ce moment-là que je me suis dit qu’une partie de gâteries, ce serait bien sympa… Je m‘étais pas fait de programme… on verrait comment les choses tourneraient… »… « Il est vrai qu’avant même que je me rende compte que tu étais français, comme j’aime mâter, j’avais repéré ta belle bite, tout comme j’aime, pas trop longue, mais pas petite, pas trop grosse, débarrassée de tout poil, et en plus tu as un corps de rêve, tout comme j’aimerais en avoir un, pour moi… J’ai flashé, sur toi… et quand tu m’as apostrophé, j’étais surpris, mais ravi… A aucun moment, alors, je n’ai pensé à plus… et effectivement, compte tenu de mon inexpérience, j’étais sur mes gardes… Mais sache que je ne regrette rien, tu as été si doux, tu as été si merveilleux que ce jour restera gravé dans ma mémoire, à jamais »…
Nous arrivions dans l’eau… maintenant nous y étions jusqu’à la ceinture… « Laisse-moi faire »… Toujours avec douceur, il prit mon sexe, entre ses mains et commença à le frictionner pour le débarrasser de mon sperme bien sec… C’était bon et c’est tout juste, si je n’ai pas recommencé à bander… puis, il me passa la paume de sa main, sur ma poitrine pour s’assurer qu’il ne restait plus rien… Une fois qu’il eut fini, j’ai fait de même sur lui… J’espérais bien que j’allais le faire bander… mais non, rien que sa belle bite molle entre mes doigts…
Une fois ses ablutions finies, nous avons repris le chemin de la plage et du sable chaud, nos serviettes étaient toujours là… Sans plus attendre, je m’y suis couché sur le dos… Lui fit de même… J’ai à peine eu le temps de lui dire : « Tu m’as vraiment comblé, je suis super heureux »… et je me suis endormi…
Quand je me suis réveillé, il n’était plus là… Je ne connais pas même son prénom, je ne sais de quelle région, en France, il est… Je lui avais offert mon corps, il m’avait offert son corps… et il est clair que je ne pouvais en avoir que des bons souvenirs….
Domi (domi.38660@gmail.com)
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Dis-moi si tu as aimé...
Est-ce que je t'ai fait fantasmer, bander, jouir ?