Récit hard

Dimanche 29 décembre 7 29 /12 /Déc 10:40

Au sauna (une autre fois)

 

Dans plusieurs endroits de ce sauna, il y a des banquettes où on peut s’asseoir…

A un moment, je vois un gars, pas mal, mais un peu bedonnant, assis sur une banquette… alors qu’on est un jour « 100 % nu », il a mis sa serviette sur son sexe… pas cool… Etant par nature un peu provoc, je me suis assis à côté de lui, sans lui cacher que mon matos est mini… et même, pour le rentre plus visible, en m’asseyant, j’ai passé ma main sous mes couilles afin qu’elles ne soient pas coincées entre mes cuisses, mais pour y reposer… Si je fais cela, à la maison, il est clair que ma petite bite disparait dans mes couilles, mais là, au sauna, après de nombreuses bandaisons… il est clair que si ma bite diminue bien, mon petit bout reste gonflé et donc, pour le moins, même assis ainsi, mon gland reste visible…

Comme il s’est pas enfoui (ça arrive)… je lui montre sa serviette et lui dis : « Pas cool »… il sourit (cool)… et hardi comme je le suis quand je me sens en confiance, je glisse ma main sous sa serviette… pour y rencontrer… un mini zob… une bite vraiment mini, me semble-t-il, il me sourit toujours, en m’indiquant ainsi qu’il avait compris que j’avais compris, pourquoi sa réserve…

Sans hésiter, je lui murmure à l’oreille, on va dans une cabine, il me fait signe qu’il accepte… je lui dis, va devant, je ne connais pas bien les lieux… Il se lève, se cache, je le suis, ne me cachant pas… et il me conduit dans un recoin, au 3 ième  ou 4ième étage, où il trouva une petite cellule, avec un lit bien haut… il monta dessus, en inspectant les lieux, je me rendis compte qu’il y avait un trou d’une dizaine de centimètre dans la cloison… (pourquoi, à vérifier). Bref, il se couche sur le lit, se découvre (enfin) et me présente sa mini bite… la mienne est petite….mais grosse, la sienne était super mini, pas longue, très fine, sans touffe, quelques poils épars… Sans difficulté, je la prends entre deux doigts en vue de la porter à ma bouche. C’est très surprenant d’avoir une petite bite (de gamin) dans la bouche, car même lorsqu’elle banda bien dure… elle était toujours petite… maxi 4/5 cms…, avec des couilles serrées et pleines, pas celles d’un gamin… ! En fait, il me laissa jouer avec… et je me suis pas privé, je la suçais comme si j’avais une sucette dans la bouche… Avec difficulté, j’ai introduit le bout de ma langue dans son petit bout, pour atteindre le méat… Me rendant compte que je n’arrivais pas à décalotter son gland, j’ai cessé ma succion, pour essayer de le faire avec mes doigts… Il/elle bandait bien, mais pas possible de la décalotter… Surpris, je l’ai regardé, alors il me dit, « tu y arriveras pas, moi-même, je n’y arrive pas »… J’ai pas insisté, et j’ai continué à m’occuper d’elle, parfois en la suçant avec application, soit en la branlant en douceur, la peau de sa bite coulissait bien sur toute la (petite) longueur de sa tige, mais quand il s’agissait de découvrir le gland… ça bloquait, comme s’il y avait un arrêt… Intrigué, je l’ai questionné, mais pourquoi tu restes comme ça, tu pourrais te faire circoncire…et tu pourrais avoir une sexualité « normale »… et bien te branler… « T’inquiète, je suis habitué, et ça n’empêche rien… ». Toujours surpris, je l’ai entendu me dire, je voudrais que tu me fasses jouir…  A vrai dire, dans mon esprit, cela me semblait une mission impossible… Branler une petite bite de gamin, encore imberbe, ce n’est pas mon truc… Et pour me convaincre, il fit le pont (en soulevant ses fesses)… Pour l’aider à maintenir cette position, j’ai mis ma main sous ses fesses fermes… De l’autre, j’ai pris sa petite… Non, pas avec ma main, mais avec deux doigts… J’étais surpris, content de le faire et en même temps gêné… Oui, branle-moi bien, je veux jouir dans tes doigts… Encouragé, j’ai mis ma gêne de côté… et j’ai entrepris de bien le branler… C’était super excitant de voir ce petit sexe et ses boules (serrées, car excitées) attachées à cette mini tige qui bougeait bien…. Ma masturbation dura quelques minutes, il s’était rassis, en fait sur ma main, je l’ai laissé là… et tout à coup, il se redressa, je l’aide… et voilà qu’il gicle… Profitant de ce moment de laisser-aller et de jouissance pour lui… j’ai tenté, d’un coup sec de décalotter son gland… je suis arrivé à mi-course de son petit gland grossi et rose vif, tant il a été compressé lors de mes va-et-vient masturbatoires… il ne remarqua pas mon insistance, mais en vain… pas possible de dégager sa couronne… Paisiblement, il reprend ses esprits, d’une seule main, je couvre ses couilles et sa petite queue, avec douceur, je les pelotte…

Il  s’apprête à descendre du lit, se recouvre, me dit merci… et me quitte…

Pendant ce quart d’heure ou plus que j’ai passé avec lui, à plusieurs reprises, j’ai senti ma bite se redresser… à aucun moment, je l‘ai aidé, tant j’étais absorbé à gâter cette petite… Si bien, lorsqu’il me quitta sans m’avoir fait quoi que ce soit, je n’ai pas eu le sentiment de frustration que je connais souvent, en de telles circonstances…

Curieux de nature, une fois seule, je suis passé dans la cabine d’à côté, pour connaître l’usage de ce trou… Vu la hauteur, je lui trouve deux usages : soit on peut mâter ce qui se passe dans la cabine que nous occupions, tout en se branlant, soit on pouvait s’en servir comme  hole glory, le sucé se mettant à genoux sur le matelas de notre cabine. Cette cabine étant un peu plus grande que l’autre, et sans matelas, on peut imaginer un gars qui suce et se fait sucer par un autre…

Je me décide à « visiter » systématiquement les lieux… Tout ce que l’on peut souhaiter est là… beaucoup de cabines normales, certaines, très grandes, certaines avec glace dépolie, des slings, des hole glory pour bite et pour cul, même une douche « pour soins intimes », des cages, une salle avec lit central avec des banquettes sur les côtés, pour ceux qui aiment se montrer et pour ceux qui aiment mâter les débats des autres…, plusieurs salles vidéos… et sexe…, même une salle « fumeurs »… bien enfumée…

Ce type de sauna, en fait, tous les saunas à tendance « gay » sont remplis de gars qui sont plus voyeurs qu’acteurs…il y a beaucoup de mecs qui te présentent leur cul, souvent tu peux constater que tu seras pas le premier… il y a beaucoup de gars qui circulent, avec ou sans serviette (journée 100 % nu), chaque fois, je m’arrangeais pour les frôler, voire les coincer et tenter de toucher… c’est quasi chaque fois un refus ou au mieux, la possibilité de faire quelques caresses à leur queue pendante qui ne bande pas en cette occasion. Il y a aussi beaucoup de rejet « anti-vieux », « anti-bedonnant », « anti petite bite », donc j’ai beaucoup d’occasion de me faire jeter… mais comme beaucoup se font jeter… je ne suis pas une exception… et souvent, je me demande pourquoi un tel est là… il n’a rien de spécial, je n’ai rien à lui envier… et pourtant, il refuse mes avances et ma collaboration à l’amener au plaisir… Même si je ne demande pas de retour, bien que s’il a lieu, je ne refuse pas…pourquoi me refuser sa bite, puisqu’il me semble que si on est là, c’est pour la même chose : prendre du plaisir entre mecs…

En faisant ma visite, je tombe sur une cabine très grande, un gars y est couché sur le dos, les jambes un peu écartées, son sexe bien exposé, avec une mini touffe, mais un beau sexe au repos, un peu long, couché sur sa cuisse… Le gars est jeune (25/30 ans), il a les yeux fermés… visiblement, il est en attente et s’offre… J’hésite peu, je vais vers lui, je me mets à genoux sur son grand matelas, je caresse l’intérieur de ses cuisses, une main sur chaque cuisse, et sans traîner, j’arrive à ses couilles et à son longue queue, sans m’attarder aux couilles, je prends en main sa tige et après quelques mouvements masturbatoires, elle se redresse et grossit… Entre temps, il avait ouvert les yeux pour voir à qui il avait à faire… pas de rejet… cool

Encouragé par ce regard approbateur, je décide de m’occuper de sa belle bite, déjà raide, sans aucun pli, avec un gland bien dégagé grâce à la circoncision et de ses couilles molles… je me penche et je commence mes succions, mon pompage régulier, en portant une attention particulière à la couronne de son gland dont les petits ergots, tout autour, sont maintenant bien excités… Superbe ce gland rouge qui tranche par rapport à sa tige blanche…

C’est alors que rentre dans la cabine un jeune mec, même âge que le gars dont je m’occupe, visiblement, il est vexé de me voir là, je comprends qu’en fait, mon gars l’attendait… et que moi, j’avais comblé son absence… L’arrivant me repousse quelque peu, je ne résiste pas, mais je ne quitte pas les lieux… Il prend ma suite, il s’est aussi agenouillé sur le matelas, il s’occupe de la bite du gars, vite, je constate qu’il bande… pas mal… Son sexe est moins beau que celui de son copain, mais ne faisons pas le difficile, je me glisse entre eux, j’ai la tête sur le matelas, et en la soulevant un peu, j’arrive à attraper sa bite… Je pense qu’au début, pendant quelques secondes, il ne s’en est pas rendu compte…  Arrêtant toute action… il m’observa, observa son copain qui lui dit… « laisse faire, pompe-moi»… Cette approbation m’a satisfait… Un peu coincé, entre eux deux, j’ai quand même pu mâter le gars ou plutôt son sexe… Circoncis aussi, bien veiné avec des veines en saillis, pas de couilles, ou, sous l’excitation, elles étaient rentrées dans son bas-ventre, donc je ne voyais que sa tige raide que j’enfournais avec plaisir et satisfaction de nous deux, je pense… Un peu las de cette position mal commode et comme je pensais que je ne serai pas un troisième acteur (récompensé), je décide de quitter le champ de bataille et de laisser ces deux jeunes gars, entre eux, pour le meilleur (et le pire – qui sait)…

Toujours dans ma visite, je suis arrivé dans un espace, doté d’une mezzanine… De là-haut, un mec mâtait la vidéo gay, (sans véritable intérêt), tout en se branlant… Pour moi, c’était un invit, je monte donc le rejoindre et sans demander la permission, je mets un genoux en terre, pour être à la bonne hauteur, celle de sa bite raide… je retire sa main, et je la prends en bouche… il me laisse faire, mais je comprends que c’est pas cela qu’il souhaite, je me relève donc, et je me mets derrière lui, ma bite bien excitée contre ses fesses… D’une main, je saisis sa tige pour la branler… Il apprécie… Avec mon autre main, je cherche sa raie, je descends de sa chute de rein, je descends sa raie, je chatouille sa rondelle, je trouve son trou, trop serré pour essayer d’y pénétrer, je poursuis ma route, en forçant le passage de son entrejambe… qu’il écarte, me voilà en train de masser son périnée, et je lui attrape les couilles, donc par-dessous, par derrière… il aime le bougre, il gesticule, le regard fixé sur la vidéo, sans me manifester aucune attention ou reconnaissance… Osant le tout pour le tout, un peu vexé par ce manque d’intérêt pour celui qui le gâtait…, je lâche son matos,  le distributeur de gel étant à ma portée de main, j’en extrais une bonne dose… et sans perdre un instant, je lui enduits la rondelle et j’y introduis un doigt… le passage est bien fermé, mais avec le gel et un peu d’énergie, mon index y rentre au maximum du possible, je sens que ses sprinters sont rebelles et voudraient rejeter mon doigt… Oui, je le ressors, mais c’est pour en faire rentrer deux… enfin je sens qu’il s’ouvre… Le voilà pris entre deux étaux… mes doigts, ma main qui le pistonne et donc retient son derrière, pendant que mon autre main le branle avec frénésie… Mon action intéresse des voyeurs qui sont en dessous de la mezzanine, eux-mêmes se branlent de satisfaction… Mon gars, quant à lui, me laisse faire, sans approbation, mais aussi sans opposition… et ce qui devait arriver, arriva… le voilà qu’il asperge les gars en dessous… Toujours pas de réelle réaction… à croire que j’ai branlé un automate sans âme… Je t’avoue que j’étais un peu vexé… j’aime bien sentir, entendre, vivre la jouissance de celui que je fais jouir… Oui, vexé, je retire les doigts de son cul, je les essuie dans sa serviette qui était là à terre… Je lâche sa bite qui débandait… je n’ai pas eu besoin de l’essuyer, tout son foutre était parti, en jet, sur l’étage de dessous… Sans aucun commentaire, j’ai fait un demi-tour, pour le quitter… Aucun des voyeurs n’a essayé de me retenir… J’étais de nouveau déçu…

En redescendant, je suis passé devant la salle avec le tapis/matelas destiné à recevoir les ébats de mecs exhibes…l’un enculant l’autre, par derrière, avec application et méthode… Il y avait déjà un voyeur qui était debout à côté d’eux, en train de se branler… Etant du style  entreprenant, j’ai essayé de branler un peu la bite demi-molle de l’enculé… Il ne me laissa pas faire, mais me (nous) dit… « Branle-toi et asperge-moi ». J’étais près de mon heure de sortie… alors pourquoi pas… Je n’ai pas eu trop à m’appliquer, ma bite avait été, pendant ce séjour au sauna, à plusieurs reprises, à la limite de l’éjaculation et de la jouissance… alors que c’est à ce moment-là que je lui demandais, pourquoi me la refuserait-elle ?

Le voyeur d’à côté a joui avant moi et à asperger son dos, l’enculeur, excité par notre vue, et par son pistonnage du cul, se retira, retira son préservatif et aspergea ses reins et le haut de ses fesses… Puis ce fut mon tour… en fait, malgré que ce ne soit pas calculé… voilà que mon jet atterrit sur son visage, un jet, puis un second, puis plus rien… Il me fallut arrêter de me branler… ma bite était douloureuse, me faisait mal… malgré ou à cause d’un reliquat d’excitation… Ce qui ne l’empêcha pas de rétrécir, bien trop vite… à mon goût… L’enculé aspergé était tout heureux, il n’avait pas encore joui, mais il avait aimé nos prestations… Il se mit sur le dos… et commença sa branle, avec vigueur et frénésie, jusqu’à l’explosion qui ne tarda pas… Nous nous sommes regardés, savourant notre bonheur perso et collectif… C’est moi qui ai quitté la salle… pour rejoindre le vestiaire… et quitter les lieux…

 

 

Par rienquepourmater - Publié dans : Récit hard - Communauté : Entre mâteurs...
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Dimanche 22 décembre 7 22 /12 /Déc 10:46

Josef…

Josef est un gars, la quarantaine, que j’ai connu à la plage gay de galets.

Comme de coutume, quand je vais sur cette plage, je m’installe dans une espèce d’abri, fait avec des galets (pour protéger du vent) mais qui ne cache rien ou si peu… Je m’y mets à poils… et je mâte les alentours… avant de décider de faire un tour.

Toujours à poils, mais avec une serviette qui ne cache rien… je monte sur un promontoire qui surplombe toute la plage, de là-haut, on voit très bien les « abris » occupés… et donc à visiter…

Bref, encore plus haut que le promontoire, il y a une petite avancée qui surplombe une autre partie de la plage qui est aussi squattée par des naturistes, parfois gay…

Avant même d’arriver sur cette avancée, je vois qu’il y a un gars (habillé) qui mâte la plage en dessous… J’arrive donc sur l’avancée, toujours à poils, et le gars me regarde, avec intérêt, je l’ai senti tout de suite… Je lui fais signe… et miracle, il semble intéressé… je me glisse dans la qualité du rocher qui reçoit les ébats des gays, car elle est très protégé (des regards indiscrets)… A peine en place, il arrive, il avait déjà sa chemisette ouverte, et il eut vite fait d’ouvrir sa braguette, et je lui sors sa bite et ses couilles afin de bien le sucer.

Comment le décrire, la quarantaine avec un torse légèrement poilu, de corpulence moyenne, bien foutu, un beau sexe, pas très gros, mais long et beau, quelques poils, mais pas trop…

Bref, il se laisse faire et en plus, il manifeste sa satisfaction (ce qui est rarement le cas)… il est même entreprenant et commence à me branler, il est vrai que nous étions debout (le lieu n’est pas très clean), moi, je le suçais avidement, il me laissait faire, et penché sur moi, il s’occupait de mon matos, sans pouvoir le prendre en bouche, compte tenu de la position… Ne voulant pas le décevoir (je plaisante), j’ai lâché sa bite, pour le laisser me sucer…Il faisait ça bien, même très bien…, mais quand j’ai voulu reprendre son matos, il abandonna la mienne afin que je m’occupe « bien » de la sienne… J’étais aux anges… une belle bite, un gars avide et conciliant… je l’ai bien fait bandé, je lui ai bien malaxé les couilles et le cul, je sais plus si ce jour-là, je lui ai mis un doigt dans le cul, mais ce devait être tout comme… Il appréciait, cela se voyait… et au bout de longues minutes très agréables, pour lui et pour moi, il m’a et s’est offert, une belle éjaculation… et suprême moment pour moi, il m’a laissé récolter la dernière goutte, il m’a laissé l’essuyer, il m’a laissé le peloter, encore, jusqu’à ce que sa bite redevienne molle…

Et il ne s’est pas sauvé…Enfin, nous avons échangé quelques mots, en mauvais français, pour lui, en mauvais anglais, pour moi, fort peu en espagnol… à cause de moi. Il réussit cependant à me faire comprendre que je lui plaisais, qu’il avait bien aimé ma prestation, qu’il était libraire dans ma ville et qu’il voulait me revoir… Il est clair qu’il me plaisait aussi… et que dans de meilleures conditions, notre courte relation aurait été plus loin…

C’est avec frénésie que nous nous sommes échangés nos n° de tél., il me donna sa carte commerciale… Un peu gêné, il me quitta, lui devant aller déjeuner et reprendre son boulot au magasin… Il a cependant pris le temps de me dire qu’il avait un compagnon qui n’était pas du tout jaloux.

Moi, j’étais tout chose… ravi… pas déçu du tout… et curieux de ce que l’avenir serait… Dès le lendemain, je n’ai pas résisté, et je suis allé voir où était exactement sa boutique et, sans me faire voir, j’ai pu relever les horaires d’ouverture.

Le lendemain ou surlendemain, je suis allé, pour le voir, une heure environ, avant la fermeture… Il parut surpris, mais en même temps, très content et soucieux de m’être agréable… et que je reste là… En fait, sa boutique est beaucoup fréquentée… et comme mon espagnol est « nul » et son français insuffisant, il m’installa sur le poste « Internet » de son arrière-boutique, pour que je puisse aller sur « Translate » de Google, pour traduire mon français, en espagnol… et dès que possible, il venait voir ce que j’avais écrit/traduit… Tu t’en doutes, ce n’était que des phrases tendres pour sa belle et hard dans son contenu qui lui disait ce que j’attendais… Plusieurs fois, l’absence de clients se prolongeant… j’ai tenté, et j’ai introduit, une fois, ma main dans son jeans pour palper sa bite et ses couilles… il aima, c’est clair… et pour moi, c’était prometteur, j’attendais avec impatience l’heure de fermeture… qui arriva, enfin.

A peine le rideau métallique fermé, il vint me rejoindre dans l’arrière-boutique. Et alors, démarra un quart d’heure de palpations, de caresses, j’ai bien vite ouvert sa chemise et je lui ai baissé son jeans et son slip, pour voir et sentir sa belle qui se redressait, et s’offrait à ma gourmandise. Lui avait baissé mon short (je porte rien dessous – pas de caleçon), et il n’attendit pas… il a tout de suite entrepris de me faire bander, ce qui ne fut pas difficile, tant j’étais excité par la situation… : deux mecs, dans une étreinte fougueuse, dans une arrière-boutique… Je ne sais plus comment cela se termina, mais je crois qu’il m’a fait giclé… et que je lui ai fait de même, la seule chose dont je me souviens, c’est qu’il m’a présenté son cul, et que je l’ai bien doigté… A la réflexion, je pense qu’il attendait plus… mais je n’ai pas compris sa demande… Rappel, aucune possibilité de dialogue « intelligible». Comblés et satisfaits, nous étions… en tout cas, pour moi, pour lui, j’espère, même s’il espérait plus. Nous nous sommes séparés…

Aussitôt arrivé chez moi… je lui ai envoyé un Sms en espagnol (via Translate) pour lui dire combien j’ai été content de la revoir… Pas de réponse… J’étais un peu déçu. J’ai laissé passer quelques jours, puis je suis retourné à la boutique… juste avant la fermeture.

Il semblait moins euphorique, mais l’échange fut quand même très satisfaisant, de plus, nous avons échangé (via Translate) et nous avons convenu qu’il viendrait chez moi, un jour, pendant la pause de midi  (13h30 – 17h)… il me préviendrait quand, par Sms.

J’ai attendu, en le relançant, presque chaque jour, par Sms… Enfin, son Sms arriva, comme convenu vers 10h30, « je viens aujourd’hui ». Il a eu quelque mal à trouver, mais enfin, il était là, et je suis allé l’accueillir, à sa voiture. Nous montons ensemble à l’appart, et la porte, à peine, fermée… le déshabillage commence. Pour moi, il fut facile, je n’avais qu’une chemisette et un short (sans caleçon (comme d’hab.), Pour ma mission, il se laisse faire, et je prends mon temps, en le caressant, quand, enfin j’arrive dans son slip, c’est déjà une belle bite raide… qui m’accueille… la mienne aussi, était dans cet état… et nous faisons un long frottis qui nous excita bien… Quand, enfin, nos deux corps nus se séparent et que nous nous mettons sur le canapé, c’est pour, chacun son tour, faire plein de gâterie à l’autre et principalement à sa bite… Tant j’étais excité, je me souviens que je n’ai pas débandé, lui non plus… nos étreintes durèrent longtemps, on prit, à peine, le temps de boire une bière… Tant d’excitation ne pouvait avoir qu’une issue… des éjac… et c’est ce qui arriva… Nous sommes encore restés, côte à côte, de longues minutes, en jouant, avec nos sexes ramollis… J’aurais bien voulu poursuivre, mais il m’annonça qu’il devait me quitter. Moi encore nu, ma bite reprenant de la vigueur, je l’empêchais de se rhabiller en lui faisant encore quelques gâteries… Il semblait ne pas s’en plaindre… Enfin, ou déjà, il me quitte, non sans avoir convenu qu’il reviendrait « bientôt », plus longuement et que nous déjeunerions ensemble… et que nous approfondirions nos échanges…

Lors d’un de mes passages « intéressés », il m’a fait comprendre qu’en fait, cela le gênait que je vienne au magasin, lui faire des gâteries, à cause des clients qui visiblement, ignoraient qu’il était gay et qui pouvaient entrer, à tout moment, et se demander pourquoi et ce que ce type (moi) attendait….

Il me fallut patienter… et enfin le Sms arriva… Ne sachant quand il viendrait, j’avais prévu… un repas rapide…

Donc, Josef est arrivé et il m’a surpris, j’étais à poils dans la cuisine et c’est dans cette tenue que je l’ai accueilli. J’avais prévu de me couvrir… mais trop tard… Cela ne l’a pas gêné… et son déshabillage, en douceur et avec volupté, terminé, nous sommes passés à table, à poils, sur la terrasse… Pendant tout le repas, en de nombreuses occasions, j’ai, nous avons eu les mains baladeuses… Le repas terminé, pas le temps pour un café… il m’entraîne dans ma chambre… je l’espérais, mais je ne pensais pas que ce serait si rapide… en fait, aujourd’hui, c’est plus lui que moi qui prenait les initiatives. En fait, j’ai vite compris que, comme moi, il aimait l’alternance, c’est-à-dire que chacun à son tour, on s’activait sur l’autre, mais que rarement l’action était commune… Après multes gâteries, les unes plus excitantes que les autres, y compris des doigtages à un ou deux doigts, j’ai compris qu’en fait, il souhaitait que je l’encule… J’avais pas du tout prévu cela, et psychologiquement, j’étais pas prêt, même si ma bite se dressait fièrement… Il me fallait assurer… courage, j’enfile un préservatif… et je tente une pénétration dans ce cul qui m’est si gentiment offert… J’y pénètre sans mal, quelques millimètres… et catastrophe… je débande…, en vain, je me branle… devant cette rondelle qui m’attend… je ré-essaie…, ma bite bien grosse n’est pas assez dure pour y entrer… il m’encourage, en vain… Gentiment, il me fait comprendre que c’est pas grave… mais bon, le résultat est là, je n’ai pas pu satisfaire son besoin d’être enculé… Nous poursuivons, encore, nos ébats… mais cet échec me reste sur l’estomac et le cœur y est plus… je ne sais plus comment cela s’est terminé… mais je pense qu’il m’a branlé jusqu’à l’éjac… et que j’ai fait de même… avant son départ… provoqué par l’heure qui tourne…

Thierry, un ami, connaissant l’aventure et ma conquête… il décida qu’il nous fallait l’aider dans son commerce en prenant nos fournitures de bureau et encre pour imprimante, chez lui, même si c’était un peu plus cher qu’ailleurs (malgré la réduction qu’il nous accordait). Ce fut chaque fois, un prétexte pour aller le voir dans sa boutique et lui demander quand il reviendrait chez moi…

Chaque fois, il nous disait « bientôt »…

Un après-midi, alors que j’arrivais à la plage gay et que je m’installais, déjà à poils, avec surprise, Josef est tombé sur moi… et il me fit comprendre qu’il était pressé de partir… Je ne m’attendais pas du tout à cette rencontre… Il revenait à la plage gay et pas chez moi… Cela m’a troublé… pendant plusieurs jours. En fait, habituellement, nous ne devions pas nous croiser, car je pense que, lui, y venait dès la fermeture de sa boutique (soit 13h30) alors que moi, j’y venais pas avant 15h/15h30, heure à laquelle, il devait quitter la plage gay s’il voulait déjeuner avant la réouverture de son magasin (16h30 ou 17h, je ne sais plus).

Dernièrement, j’ai eu l’occasion de venir à la plage gay, beaucoup plus tôt… et il était là, il ne m’a pas vu, je ne me suis pas manifesté, voulant voir son circuit. Au moment où je suis arrivé, je l’ai vu de dos, dans un abri (de galets) avec un gars que je connaissais et qui aimait se faire sucer… Il était sur le point de quitter l’abri… Sans se retourner, heureusement, car il m’aurait vu… il s’est dirigé vers l’autre coin de la plage gay que l’on voit en vue plongeante… de haut… Je le laisse aller. Dans cette partie de la plage, je n’y suis allé qu’une fois (non, deux fois), le passage étant quelque peu scabreux et malcommode, et en plus, sur place, les 2 fois où j’y suis allé, ma visite a été stérile, je me suis fait, chaque fois, jeté, par plusieurs gars… Bref, je lui laisse prendre un peu d’avance… et je monte sur l’avancée du promontoire (lieu déjà évoqué, ci-dessus) où je l’avais bien sucé… mais cette fois, il n’était pas là… mais au souvenir de son passage antérieur, je me suis surpris à bander… et surprise… il était déjà, juste en dessous de moi, chemisette ouverte et cul à l’air… Il m’a semblé bien bander et s’activer… Il était avec un gars quelconque, la cinquantaine bien sonnée, bedonnant, bien plus que moi. C’est Josef qui s’activait… sans bien trop le voir, je comprenais qu’il faisait bander le gars et que c’était son cul que, au final, il offrait au gars… Comme un rocher cachait quelque peu le couple, je voyais mal, mais le peu que je voyais, par moment, me permet d’affirmer que sa (celle de Josef) position était celle d’un gars qui se faisait enculer, debout… Le gars était cambré, comme pour bien le prendre à fond… La situation, l’action n’a duré que quelques minutes, mais elle m’a bien excité, et je me suis surpris en train de me branler… à la vue de tous… (ce qui attira, un autre mec, mais c’est une autre aventure). L’éjac ayant eu lieu, je pense, Josef se retira et il vint plus à ma vue… Il s’est caressé le cul, comme pour l’essuyer ou faire durer le plaisir… Bien vite, il se rhabilla et sortit de la plage gay… J’étais perplexe, et super excité…

Je ne sais pourquoi, l’enculeur, tout à coup, leva la tête, et me vit, la bite encore raide… Instinctivement, je lui ai fait signe (comme je le fais souvent) afin qu’il vienne me rejoindre… Il ne m’a pas répondu dans un sens, ou dans l’autre… J’ai donc poursuivi mon chemin, non sans avoir sucé, le visiteur attiré et excité par ma branlette de voyeur solitaire… mais rien de plus, j’avais trop d’images qui se bousculaient dans ma tête…

Sur mon chemin du retour (sur le promontoire), je fais une pause… pour prendre le soleil… et exposer ma nudité (comme d’hab) à la vue des rares visiteurs… et quelle ne fut pas ma surprise quand j’ai vu arriver le gars qui avait sodomisé Josef… Voulant en savoir plus et le cœur net…, comme il venait auprès de moi, pour bien me mâter, je l’ai attrapé par me short et j’ai entrepris une ouverture rapide de sa braguette avant de lui descendre short et slip… Visiblement, il n’était pas espagnol, ni anglais… Mes mots magiques : suck ou chupar ne lui disant rien… j’attrape son sexe et je commence à sucer sa bite molle… ayant dans ma main, son gros et beau paquet de couilles… en vain, malgré  mon attention et mon ardeur, pas de bandaison, par signe, il me rappela son action avec Josef, une demi-heure avant… Je n’ai pas poursuivi, j’étais fixé… elle avait servi et elle avait joui… Par signe et quelque mot, j’ai compris ses regrets, et rendez-vous fut pris pour le lendemain… Il me fit quelques caresses… et remonta ses slip et short avant de me quitter… Je suis revenu le lendemain, mais pas lui… Ce gars avait surtout de belles grosses couilles, et au repos, une bite correcte, disons, grosse, mais pas longue au repos… mais je sais que cela ne veut pas dire grand-chose…

Me restait à travers la gorge, le cas Josef… Je ne savais pas quoi faire… renoncer à le voir… aller le voir et lui poser la question (difficile, à cause de nos langages différents)… le provoquer par mail… Pour me calmer, il fallait que je fasse quelque chose… j’étais trop troublé par ce que j’avais vu et compris…

Je lui ai donc envoyé un mail assez cru, aux termes desquels, je lui disais que je l’avais vu à la plage gay et que moi, aussi, j’étais capable, avec l’aide du Viagra, de l’enculer bien à fond et de le faire jouir du cul… Je l’invitais donc, à revenir chez moi, où il aurait la même prestation, avec plus de confort et de sécurité (cf sida)… Pas de réponse, pendant un ou deux jours… J’avais cru que je m’étais trompé de mail. Je renvoie le mail, en lui demandant de me dire, si, entre nous, c’était oui ou non… fini… De nouveau le silence… N’y tenant plus, je lui envoie un Sms (de son numéro, j’étais sûr) pour lui demander s’il avait reçu mon mail et de bien vouloir me répondre.

Enfin un Sms… qui me dit qu’il est surpris que j’ai pu le mâter, avec le gars… nous échangeons quelques Sms, desquels il ressort qu’il aime bien la diversité, qu’en fait, il aime les situations inattendus et hard… Aussi sec, sans trop y croire, je lui dis que je saurais être violent, comme il aime. Il me dit qu’il aimerait bien une partie à trois, avec mon ami qui lui plait bien. Je lui rappelle le cas de mon ami qui, depuis son opération de la prostate, est devenu plus voyeur qu’actif… Peu importe, être mâté, lui plaisait bien… Sans même consulté mon ami, je lui dis que, dans ces conditions, cela semble possible, et que j’attends son appel et son Rdv. Après cet échange en espagnol, par Sms, avec traduction Translate, j’en ai parlé avec mon ami, lui résumant sommairement ce qui précède… L’idée d’une partie à trois ne le laisse pas indifférent… Pourquoi pas…

La conclusion de tout cela… date de maintenant… de près de deux mois, avant notre voyage en Turquie…et je n’ai pas reçu de nouvelles de lui… comme il ne sait pas que je ne suis pas chez moi… il aurait pu m’envoyer un Sms… rien… silence total…

Et je ne vais pas rompre ce silence… Je retournerai, peut-être, dans sa boutique faire quelques achats… je verrai sa réaction, mais j’ai l’intention de ne pas le solliciter… Et ce d’autant plus que, j’ai un autre gars, en vue… !!!

 

PS : je m’y suis repris, à plusieurs fois, pour écrire ce récit, très vivant encore en moi… et qui m’apporte une certaine tristesse, car j’aurais bien aimé partager plus avec lui, sans passer, dans le sado-maso…, où il aurait pu m’entrainer…

Bref, tout au long de ses pages d’écriture, repenser/revivre tout cela m’a provoqué de nombreuses érections… Deux fois, je suis allé aux WC, pour uriner, les deux fois, mon gland était plein d’une mouille abondante qui s’écoulait de mon prépuce… signe d’une bonne et saine excitation… n’est-ce pas… ?

 

Par rienquepourmater - Publié dans : Récit hard - Communauté : Entre mâteurs...
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Dimanche 15 décembre 7 15 /12 /Déc 09:40

Ce fut bon....

 

J'aime bien aller à la plage naturiste du coin... Tout d'abord parce qu'on y voit des gars bien bronzés et souvent très dénudés...

Il est vrai qu'en bordure de l'eau... il est difficile de faire plus que mater, et ce, surtout qu'il s'agit souvent de gars... en couple (nana).

Mais quand tu t'approches des dunes, en arrière plan, la faune n'est pas la même, et si on y trouve des couples mixtes ou des gars seuls, ils sont très souvent à poils, ce qui n'est pas le cas du bord de l'eau.

Pour accéder à cette plage... il y a deux voies... un chemin qui t'amène à la buvette, puis à la plage... et un autre  qui coupe les dunes pour arriver directement au bord de l'eau... Oui... il y a des dunes, certes pas monumentales, mais elles permettent de "bonnes surprises"... et c'est l'une d'elle que je veux te raconter.

En fait, je suis venu plusieurs fois sur cette plage... où je me suis contenté de mater... et d'attendre... ce qui n'arrive pas... une rencontre...

Mais cette fois, je m'étais motivé, et j'étais bien décidé à provoquer le hasard... en prenant les devants...

Dans ma tête, je m'étais fait un petit scénario...

0. me mettre "à poils" le plus tôt possible,

1. dire "bonjour" (hola) à tous les mecs seuls ou couples gays,

2. ne pas tenir compte du physique "plait" ou "plait pas trop", le critère est "à poils",

3. aborder tous les seuls par "you are gay"... Que la réponse soit "yes" ou "no"... proposer, par gestes et mimiques... que je lui fasse une fellation, si c'est "no"... un "sorry"... et je poursuis mon chemin, si c'est "yes" (plus ou moins manifesté)... je fonce, afin d'éviter tout retrait (changement de décision)... et c'est parti... pour l'aventure...

4. soit cet "abordage" se ferait lors de ma migration vers ma place, soit plus tard, au moment de faire un petit tour, une balade dans les dunes...

Donc, le jour "J"... je pars à la plage naturiste... et j'exécute mon plan...

Même pas installé, je remarque un gars, un beau mec... qui s'est levé... je l'avais pas repéré, lors de mon arrivée...

Je pars donc faire un tour, pour arriver bien vite, vers lui, il s'était de nouveau… allongé... Dés que je suis à sa vue, et lui à la mienne, je le mate un maximum, j'aide un peu la nature pour que ma bite ne paraisse pas si ridicule...

C'était un beau gars, comme dans les magazines ou sur Internet... pas une rature dans son bronzage très cuivré... En plus, bien rasé (pubis et couilles), pas un poil... une belle queue, pas monstrueuse, mais comme beaucoup en ont une, au repos... pas fine, mais pas grosse, plutôt longue, sans excès, un beau prépuce qui recouvre bien son gland, de belles couilles molles qui encadrent sa tige... Bref, un beau gars... et je me mets à espérer qu'il soit gay...

"You are gay"... "no"... Il est clair que j'étais déçu... et je me suis mis à bafouiller..."but...", et me servant plus de mes mains que des mots, je lui fais comprendre que s'il veut que je le suce, c'est Ok, pour moi... Je n'ai pas eu à repréciser ma demande..."yes"... Surpris et heureux, comme on dit...

Comme il est clairement "consentant", je décide de prendre mon temps et de lui offrir quelques préliminaires... Ainsi donc, d'une main, je lui caresse l'intérieur des cuisses, de l'autre sa poitrine... Ma main effleure ses hanches, je le sens frissonner... et je constate que, sous mes sollicitations,  sa bite commence à gonfler et tente de se redresser... Naturellement... ou instinctivement, m'a-t-il semblé... il écarta les cuisses et se pencha en arrière, à l'abandon... il me laissait maitre de la situation... Pour moi, c'était une première... j'avais jamais eu l'occasion de consommer la bite d'un mec, sans autre échange de paroles ou autres...

Bref, il se donne à moi... et j'entreprends de le sucer, d'abord avec délicatesse... nous avons le temps... puis avec plus d'insistance... quand je me rends compte qu'il apprécie...

Sa verge était magnifique... elle s'est bien redressée, sans que ce soit outrancié... elle devint bien dure... toute lisse, avec quelques veines que je devine sous la peau... ses bourses ne sont plus molles, elles deviennent fermes sans excès, ce qui me permet de bien les malaxer pendant que je le pompe.

J'ai beaucoup joué avec son gland, son frein, ma langue, mes dents... tu sais, comme je sais faire et comme j'aime...

Je fais tout pour que ça dure... en feignant de petites pauses, c'est à dire, en donnant un peu de repos à sa bite et en m'occupant d'autres parties de son corps... c'est ainsi que je lui ai bien caressé l'intérieur des cuisses... en me dirigeant vers son périnée que j'ai bien massé... pour arriver à ses fesses qui étaient bien dures et contractées... j'ai effleuré le pli de sa raie, sans vraiment tenter d'accéder à sa rondelle... de peur de faire tout rater... rappel, il n'est pas gay...

Ces jeux érotiques sur sa personne et cette fellation a bien duré dix ou quinze minutes... Il manifestait de plus en plus sa satisfaction, par des râles et des regards qui m'en disaient long... Parfois même... il avait tendance à se trémousser, à se contracter... j'ai pris cela comme un signe avant-coureur... aussi, je ralentissais mon action excitatoire...

C'est alors qu'il m'apparut que bientôt, il ne pourrait plus se retenir... Il semblait même qu'il souhaitait se finir... je lui ai fait signe que non, que ce serait moi... et je l'ai masturbé quelque peu... quelques allers et retours ont suffi pour que son sperme jaillisse et vienne se rependre sur son torse... en longs jets...

J'ai tenté de poursuivre... en douceur... mais c'était trop... il retint ma main pour que je cesse, c'était pour lui, douloureux, of course...

Je l'ai laissé reprendre ses esprits.... Il prit quelques Kleenex dans son sac à dos... Il s'essuya... Il m'a souri... Il semblait heureux...

Sa bite est redevenue molle, longue à souhait... belle... Je me suis permis de faire faire à son prépuce quelques va-et-vient... cela l'a amusé... Mais c'était fini...

Et moi, dans tout ça... Il est clair que je n'étais pas au programme... ma proposition était que je le suce, pas qu'il me suce... Aussi... nenni... Je ne saurais te dire, s'il m'a caressé... Je ne me souviens même pas avoir "bien" bandé... dur... J'étais très affairé... et je trouvais ma satisfaction et mon plaisir dans la fellation et ses annexes que je lui prodiguais...

Et je n'ai aucun regret... C'était ma première interrogation "you are gay" et malgré une réponse négative, ma première fellation dans ces conditions...

Je l'ai quitté "heureux"... je pense qu'il l'a été aussi... Nous n'avons eu pratiquement aucun échange verbal... Je ne sais pas d'où il vient... Quand j'ai essayé de lui faire comprendre qu'on pourrait remettre cela... il s'est contenté de me sourire...

Je ne sais s'il m'a dit "merci"... mais je crois que c'était à moi, plutôt de le remercier...

Oui, ce fut bon...

Dans l'après-midi, j'ai eu l'occasion de le croiser à nouveau... chaque fois, nous nous sommes fait un petit geste amical... de reconnaissance...

 

Par rienquepourmater - Publié dans : Récit hard - Communauté : Entre mâteurs...
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Dimanche 8 décembre 7 08 /12 /Déc 10:27

Au sauna…

 

Il y a un an, j’ai fait un nouveau pas dans ma quête du plaisir entre hommes…

Je me suis, enfin, décidé d’aller dans un sauna « gay »… Par hasard, et avec satisfaction, c’était le jour « 100 % nu », donc pas de maillot, pas de serviette qui cache…

Le vestiaire est déjà un lieu sympa, où on peut mâter les gars qui se déshabillent… il est recommandé de le faire lentement, pour que cela dure…

J’avais sur Internet, chercher et trouver la topographie des lieux, donc je suis descendu directement vers le Jacuzzi… vide. Je le passe donc, pour arriver aux douches avant le hammam humide. 6 douches sur 8 sont occupées, donc il y a une place pour moi, et je peux commencer à mâter… Pas de phénomène de la nature… des gars au physique sympa, entre 30 et 40 ans. La promiscuité n’étant pas évidente, je préfère tester le hammam.

Il y fait sombre, la vapeur me gêne un peu… vite, je comprends qu’il faut que mes yeux s’y habituent…

En fait, je n’avais pas de technique d’approche prédéfinie. Les mots me semblaient difficiles, pas adaptés à l’obscurité. Je pensais que le plus simple était d’y aller au toucher. Donc, comme je constate que j’ai un voisin, j’approche ma main de sa cuisse… pas de rejet… je poursuis donc vers son sexe, et là, je rencontre une bite presque dure… pas de réaction négative… pour une première touche, c’est super… Après l’avoir caressé un peu pour la faire grimper, je me penche un peu, pour tenter un début de fellation. Là, il s’interpose, et me dit « non », « tu aimes pas », « si, mais c’est non », je décide donc de continuer à le branler… Cà, c’est pas non, il me laisse faire… et il aime… il se penche même un peu en arrière, pour me faciliter la tâche.

Oui, il avait une belle bite, grosse et longue (18/20 cms), non circoncise, le pubis, les couilles rasées. Dommage qu’il n’accepte pas que je la pompe… Je fais une nouvelle tentative, avec le même résultat. Ma masturbation, en excitant bien son gland, semblait lui convenir… donc j’ai poursuivi la tâche que je m’étais donné. A un moment, il retint ma main… ne comprenant pas tout de suite, je maintiens la mienne, sur son sexe, et avec elle, je lui caresse tout ce qui n’est pas sa bite (pubis, couilles, périnée, torse, tétons, etc). Après quelques minutes consacraient à ses gâteries, j’entreprends de m’occuper, de nouveau, de sa bite qui d’ailleurs n’avait pour ainsi dire, pas ou peu perdue de sa rigidité… Ouf, il me laisse faire, pendant quelques minutes… puis de nouveau, il retient ma main… C’est alors que je comprends que ma masturbation si elle s’était prolongée, lui aurait procurée une éjaculation qu’il ne souhaitait pas encore… Je suis resté, près de lui, près d’une demi-heure…il y a eu plusieurs arrêts, comme tu t’en doutes… Ce petit jeu m’a bien plu, et ma bite a bien bandée… Lui n’y a pas touché, par contre, un gars est venue lui faire une petite gâterie, mais quand j’ai voulu le repérer, il s’en allait… déjà.

Un peu las, et ayant un peu trop chaud… je décide de quitter les lieux… et je vais au sauna (sec et chaud)… il y avait deux gars, dont un qui se branlait un peu… Je me suis donc dirigé vers lui, et sans lui demander son avis, j’ai entrepris de le sucer… ce qu’il accepta… avant de me demander de m’arrêter.

Je découvrais le problème du sauna. En fait, les gars y viennent, comme moi d’ailleurs, pour un certain temps, et donc, s’ils veulent bien prendre du plaisir, il ne faut pas que leur éjaculation arrive trop tôt, car après, le fun passe…

Je reste pas longtemps dans ce sauna et je décide de retourner au hammam. Mon gars y est toujours, mais « ma » place n’est pas libre, je décide donc de m’occuper d’un autre gars qui était debout, la bite raide… Après un léger frottement de sa cuisse… sans réaction… je me mets à genoux et j’entreprends une suce (en règle). Le gars était circoncis donc, pas de jeu avec son prépuce, mais son gland étant bien dessiné, j’ai pu y jouer avec ma langue et mes dents… Il a aimé… et même, il prit ma tête pour que j’engouffre bien sa bite… J’avoue ne pas trop aimer, car cela m’enlève de la mobilité et la maîtrise de la situation… Aussi, je me dégage et lui fais comprendre que j’ai compris ce qu’il voulait… Pour calmer un peu son ardeur, je commence par lui gober ses boules molles et pendantes, puis la hampe de sa tige, pour ensuite, de nouveau, la faire bien rentrer au fond de ma gorge… Espérant avoir droit à un retour, je me suis relevé et j’ai fait en sorte que ma bite raide, frotte sa cuisse. Cela ne lui donne pas d’idée… et il sort du hammam, en me plantant là…

N’étant pas du genre à me décourager, je vois un couple dont l’un suce l’autre. Le suceur me présente son cul, et je constate que sa bite est mi-dure, donc, je me mets à sa hauteur, et je vais la branler… Surpris, il me regarde, mais me laisse faire… lui poursuit le pompage de la bite de l’autre.

Autre situation : Comme il n’y a pas beaucoup de places assises, les gars debout sont nombreux, contre le mur libre ou contre le pilier central…  Je m’approche donc d’un gars… (30/40 ans), malgré l’obscurité ambiante, je vois qu’il est imberbe avec une queue molle de belle taille, je ne distingue pas ses couilles…

Je tente une nouvelle approche, je me colle contre lui… pas de réaction…je frotte ma bite presque dure (j’ai dû la relever), pour qu’il sente ce qui caresse sa cuisse… Bien sûr, çà me fait bander… plus, il la sent bien, je ne sais, mais en tout cas, il se tourne vers moi, et je fais en sorte que nos deux sexes se touchent… Avec satisfaction, j’ai pu constater que la sienne avait pris de la vigueur… Je me trémousse contre son bas ventre, ça y est, c’est deux bites raides qui se câlinent… Ces doux frottements durent quelques temps… mais maintenant, c’est lui qui prend l’initiative de me serrer dans ses bras et d’attraper mes fesses afin que je ne m’échappe pas… je fais de même… et même plus, puisque mon doigt explore sa raie et sa rondelle… Voilà qu’il me murmure à l’oreille… « On va prendre une douche »…

Avec difficulté, nos bites raides, nous nous frayons un passage entre les gars debout… Au passage, l’un d’eux attrape ma bite… je me dérobe… je suis pris… je suis ma conquête… Les douches sont presque complètes, mais, il en reste que deux, nous nous mettons dans une… l’eau fonctionne mal, nous changeons de cabine. En fait de cabine, ce sont de petites douches (surtout pour deux) fermées sur trois côtés…

 Là, nous avons du savon liquide à notre disposition, j’en prends donc, et j’entreprends de le savonner, d’abord son torse bien lisse, mais mes mains glissent vite vers son pubis, puis vers son dard qui avait perdu un peu de sa rigidité, mais qui était encore conséquent… avec délice, je savonne et caresse son matos, ses superbes couilles molles que je vois enfin, j’introduis une main sur son périnée, que je cajole au passage avant d’arriver à sa rondelle que je frotte un peu, craignant de faire plus… et d’obtenir un rejet… Ce qu’il me fit, je pense la même chose, mais j’étais tant préoccupé de faire réagir son corps que, j’en ai plus souvenir… mais je suis certain que ce fut bon et efficace, car à un moment j’ai baissé les yeux, et j’ai vu qu’elle bandait bien… C’est alors que j’ai constaté que la cloison de la douche avant, à la hauteur de nos zobs… une grande ouverture… et un gars, accroupi, je pense, mâtait nos actions… ce qui se passait à 30 cms de ses yeux…  Mon complice s’en est rendu compte aussi… « on se rince, et on s’en va… ». Docile, j’ai fait ce qu’il souhaitait, espérant que ce n’était pas une fin…

« Viens »… je l’ai suivi, ne connaissant pas encore bien les lieux… nous remontons au RdC… « Attends »… il va à son casier.. ; et en revient,  « On monte »… je le suis, et il cherche une cabine libre. En fait de cabine, ce sont de petites cellules avec un matelas en mousse, et une porte (qui ferme)… nous y rentrons, et à peine la serviette, sur le matelas, il me dit « Suce-moi »… Il n’a pas eu à me le dire deux fois… J’ai pris dans ma bouche sa bite, encore gonflée quelque peu, et j’ai commencé à la pomper, en douceur, en jouant, comme d’hab, avec son prépuce, la couronne de son gland, son méat… bref, tout ce qui est bon et amène son plaisir (et le mien)… Je me rends compte qu’il fait au-dessus de moi quelque chose, je lève la tête et vois qu’il sniffe du poppers… « tu en veux »… « non, j’en ai jamais pris »…  « tu fais bien », et il en reprend une rasade… Moi, je poursuis l’excitation de son sexe, tout entier, en malaxant bien ses couilles, en jouant avec ses boules, mes deux mains et ma bouche s’affairaient au mieux, pour entretenir le plaisir qu’il manifestait par de petits gloussements, tout en se trémoussant… « Attends »… « à moi, maintenant »… il me fit me coucher, il se coucha sur moi, puis malaxa mes tétons, puis tout en me caressant, il arriva à mon pubis… « Sympa, ton tattoo, j’avais pas vu »… puis d’une main, il prit tout mon sexe qui avait bien redescendu… Tout en se baissant, il souleva un peu mon paquet afin d’apporter mon petit bout dans sa bouche… Une puissante succion fit sortir ma petite de sa léthargie naturelle… il est clair qu’il savait faire et bien vite… tout mon corps tressaillait de plaisir, ma bite prit de la longueur et une rigueur inhabituelles… j’en étais surpris, mais ravi… Il me suça, comme rarement un partenaire l’a réussi… De plus, comme il était couché, bien penché sur moi, j’ai dans ma lignée, entre ses jambes, son sexe qui était suspendu… avec une bite encore bien raide… avec mon pied, j’ai tenté et réussi à le/la caresser… Il fut d’abord surpris, puis, il accepta ces attouchements… osés. Mon excitation était telle que je sentais mon plaisir approchait… ne voulant pas jouir si tôt, j’ai levé sa tête pour libérer ma bite, et je me suis redressé afin de pouvoir prendre sa belle bite, oui, à la lumière, elle me semblait encore plus belle, toute lisse, les veines visibles mais pas saillantes, sans un poil… une belle tige, maintenant à l’horizontale, qui tressaute un peu… Alors qu’il reprend un sniff de poppers… en écartant un peu les jambes, il me l’offre… Je la prends en bouche, mais mon souhait est de tenter plus… donc ma main passe en dessous de ses couilles pour atteindre sa rondelle que mon index pénètre sans réelle résistance, et je pistonne donc son cul… Il est clair que ça lui plaisait… Brusquement, il se retourna pour m’offrir ses fesses et son trou. Il prit un peu de gel au distributeur. J’ai compris le message et c’est maintenant avec deux doigts que je le pistonne. Il aimait, moi aussi… Je ne sais s’il espérait plus, mais sans mettre de préservatif (pas le temps), j’ai plaqué mon gland sur sa rondelle…je n’ai pas osé faire plus… il est clair que s’il avait voulu que je l’encule, il aurait pu se reculer… et ma belle raide y serait rentrée… Il n’a rien fait… Reprenant par devant sa verge, j’ai entrepris de le branler, d’abord doucement, puis plus violemment… Il se retourna de nouveau vers moi… je pensais qu’il voulait que je la suce, mais non, en fait, il voulait jouir… , il se cambra pour jouir… et il le fit en m’envoyant une superbe giclée bien liquide, puis une autre bien épaisse…, et ce, dans un cri de jouissance qui résonna, je pense, sur tout l’étage… Avant son éjac, j’avais réussi à lui attraper les couilles que j’ai  bien serrées, pour accompagner son action…

J’ai gardé son sexe, entre mes mains, lui souriait, en me massant mon torse, avec son sperme… C’est alors que je me suis rendu compte qu’il était plus dans son état normal… Il avait l’air saoul… vaporeux… J’attribue cela au poppers… Ne sachant que faire… j’ai attendu… Ses réactions étaient quasi nulles. Je me suis étendu sur le dos… mon sexe avait perdu toute vigueur et avait repris son état ridicule… Il se pencha vers moi, comme s’il voulait me donner un baiser, mais ne le fit pas… Il ramassa sa serviette, ouvrit la porte et sortit…

Il laissa la porte ouverte… je suis resté là, encore quelques minutes… en me branlant doucement… pour paraître plus présentable aux voyeurs qui passaient la tête dans la porte entrebâillée… Personne n’est venu me rejoindre, mais en fait, je crois que j’en avais pas trop envie… J’étais encore drogui par ce que je venais de vivre… Ayant repris tous mes esprits, je décide d’aller prendre une douche, pour retirer son sperme, maintenant sec…

La douche étant près du hammam… c’était trop tentant, j’y suis retourné… mon partenaire du début de l’après-midi était encore là, donc une heure et demi plus tôt… ! Je me suis mis à côté de lui, me reconnaissant, il m’a souri et sans préambule, j’ai repris ma tâche… le branler doucement… sans le faire jouir. En fait, sa présence m’a surpris, cette chaleur humide, à la longue, est pénible… et de plus, sa belle bite était encore « bandée »… surprenant, non ! En tous cas, il me laissa faire, à croire qu’il m’attendait. Comme nous étions cuisse contre cuisse, il n’a pas eu de difficulté pour attraper ma tige, demi-molle… il me branlait, m’a-t-il semblé, sans réelle conviction, mais avec le résultat escompté… Moi, j’étais bien plus appliqué que lui… Il n’y avait plus grand nombre dans le hammam… Sans un mot, je l’ai vu étirer ses jambes et se pencher en arrière… j’ai pris conscience qu’il voulait que je continue ma masturbation… il ne retint plus ma main… et alors que je lui pelotais les couilles… une belle coulée se répandit dans mes doigts… pas de giclée… mais un beau filet de sperme épais… avec beaucoup de délicatesse, pour que ce ne soit pas douloureux pour lui, j’ai maintenu ma pression et sans lâcher son sexe, j’ai attendu qu’il revienne au repos… je n’ai pas cessé de la branler… lui était toujours, la tête penchée en arrière… savourant sa jouissance… Peu à peu, il se redressa, ce fut pour moi, le signe que je devais libérer sa queue, maintenant molle… Il me souriait, heureux… Nous sommes restés un peu comme cela, côte à côte, puis il se leva, je l’ai suivi, il alla à la douche, je l’ai suivi, il me sembla surpris… Sans m’en inquiéter, j’ai pris du savon liquide et j’ai entrepris de lui laver le pubis et son sexe… il me laissa faire… Toujours sans un mot, sans un « Merci », sans un « A bientôt »… il s’éloigna…

 

 

Par rienquepourmater - Publié dans : Récit hard - Communauté : Entre mâteurs...
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Dimanche 1 décembre 7 01 /12 /Déc 13:36

 

 J'ai osé... à Ibiza 

 

Comme souhaité, je suis retourné à la plage gay d'Ibiza, avec l’intention de mâter et de me rincer l’œil, un max… Mon ami ayant préféré rester à l’appart, j’ai pris mon courage à deux mains, et j’y suis donc allé seul…

Par simplicité et pour ne pas me perdre et rencontrer un méchant loup… j’ai choisi le même emplacement. Je n’ai pas reconnu de mecs déjà vus, mais la moyenne d’âge n’avait pas changé… la cinquantaine et plus, et selon les anatomies « sexe », que des allemands rasés et non circoncis…

Je m’installe donc à côté (1,5/2 m) d’un mec seul… et comme il était encore tôt et donc pas très garnie, cette plage, j’entreprends de lire le magazine que j’avais amené…, et ce, plus assis que couché, ce qui me permettait de jeter un œil discret et intéressé de part et d’autre…

Lors d’un de mes tours d’horizon, oh surprise ou coïncidence heureuse, je me suis rendu compte que mon voisin le plus proche lisait un bouquin en français… et alors même que je m’en rendais compte, lui me regardait et m’a souri, j’ai fait de même, lui aussi  avait du se rendre compte que j’étais français… C’est alors qu’il se leva et s’approcha de moi : « T’es français, ici, on est plutôt à effectif réduit », je n’ai pas été capable de lui répondre, j’étais médusé… j’étais assis, lui debout avec son sexe à la hauteur de mes yeux… J’ai dû juste lui sourire… « Je peux me mettre à côté de toi »… Sans même m’en rendre compte, je lui ai répondu : « oui, si tu veux »… et il alla chercher ses affaires.

Petite pose pour le décrire… Il devait avoir autour de 30 ans, peut-être un peu plus, de bonne stature, bien fait, pas trop de muscu, tout à fait imberbe, pas bedonnant ou si peu, le sexe et le pubis bien rasés et lisses… Sa queue et ses couilles faisaient un bel ensemble, couilles pleines quelque peu pendantes, mais pas trop, on voyait le dessin et la forme de ses boules, bref de belles couilles lisses et prometteuses d’un bon jus… Sa bite, toute lisse aussi, je pense au moins 8/10 cms dans cet état de repos, donc dans la norme… sa tige était bien régulière, sans veine disgracieuse… avec un beau prépuce qui recouvrait son gland, tout en laissant deviner sa forme et son volume, tout à fait respectable… et une petite pointe de prépuce, je te dis pas…

Quant au verso, que j’ai pu bien voir lorsqu’il alla chercher ses affaires, un dos large surplombant des fesses bien rebondies mais fermes, le tout sans poil, même les jambes, sans toutefois que l’on puisse penser qu’il était épilé…

Tu l’as compris, il me plaisait bien, dire qu’il me fascinait est un peu exagéré, mais si peu…

A son retour, il s’assit, puis se coucha sur le dos, prenant appui sur ses avant-bras… je fis de même. Dans cette position, l’un et l’autre pouvait se mâter et mâter l’autre, comme moi, il avait les jambes peu écartées, si bien que nos paquets et nos bites reposaient sur l’intérieur de nos cuisses… Une vue agréable, moi, ma petite bite en pointe, et lui, sa bite qui se repose sur ses couilles. Comme nous n’étions pas encore allés à l’eau, nos couilles respectives étaient plutôt molles et on voyait bien le dessin de nos boules…

« J’aime bien ta petite bite »… « Oui, elle me plait aussi, je la trouve plutôt mignonne… Quant à la tienne, je la trouve aussi bien belle… ». A vrai dire, j’étais moi-même surpris de lui répondre ainsi, sans véritable gêne et surtout, d’une façon spontanée, je dirai même, non réfléchie. Il n’a pas enchaîné… moi, non plus…

Il prit son bouquin, moi, mon magazine, et nous sommes restés, ainsi quelques longues minutes….

C’est lui qui prit l’initiative… « Je vais à l’eau, tu viens ? » - « Ok »… Souhaitant encore mâter son dos/arrière, je lui laisse prendre les devants… mais avant cela, il se mit à genoux, ce qui me permit d’avoir une vue délicieuse sur ses couilles pendantes er son petit bout qui dépassait… Vraiment magnifique son cul, je pense que c’est la position, mais ses fesses étaient à peine serrées, et je pouvais deviner son petit trou, en tout cas, tout poil en était absent…

Je le suis donc… pour profiter de la vue…

Avant d’y rentrer, il m’attend au bord de l’eau et nous y rentrons côte à côte, comme la pente y est douce il nous a fallu plusieurs mètres pour que l’eau nous arrive aux genoux, et encore quelques uns pour que nos couilles commencent à être caressé par les petites vagues… et encore quelques uns, et nous avions de l’eau jusqu’à la ceinture…

Comme d’hab, au contact de l’eau, mes couilles se sont resserrées… et ma petite devenir encore plus petite… L’eau était si claire qu’il me fut aisé de constater que l’eau avait le même effet sur ses couilles, que chez moi, quant à sa bite, elle restait bien conséquente…

Sans même m’en rendre compte, comme je le fais souvent dans l’eau, je me suis décalotté… Il s’en est bien sûr aperçu : « Il est super gros ton gland »… gêné, instinctivement, ma main se porta à mon sexe pour le cacher… « Sois sympa, montre, je t’assure, il est vraiment gros, je ne pensais pas qu’on pouvait avoir un tel gland avec une si petite bite »… et en même temps, il s’était rapproché de moi, si bien que j’ai dû m’exécuter… je fis même mieux, profitant d’un creux d’une vague, et me mettant sur la pointe des pieds, je lui ai présenté, pendant quelques secondes, tout mon paquet…. « Regarde, comme le mien est petit », et joignant le geste à la parole, il se décalotte, met sa main sous sa bite et offre à ma vue, son petit gland tout rose… Là, je t’avoue que j’étais plutôt gêné… et comme un flash, je me suis demandé où cela allait m’amener… Reprenant mes esprits… je décide de sortir de l’eau et de retourner sur ma serviette… Il fait de même… Avant de m’asseoir ou de m’allonger, j’ai l’habitude de rester quelques minutes debout, pour me faire sécher par le soleil et en profiter pour mâter les alentours… Je n’ai donc pas renoncer à ce petit plaisir, d’autant plus que j’avais pas envie de faire tout comme lui… Lui se coucha, comme précédemment, sur ses avant-bras, dès son arrivée.

Après quelques tours d’horizon, inconsciemment ou peut-être pas, avant de choisir ma position, je me suis retrouvé, accroupi, les jambes écartées, avec mon sexe exposé à sa vue, à moins de 70 cms… M’en rendant compte, j’ai vite changé de position pour prendre la même que la sienne…

Nous sommes donc, de nouveau, côte à côte : « Moi aussi, j’aime bien mâter » - « Oui, c’est sympa, et nous en voyons de belles ». Pendant quelques minutes, nous restons silencieux…. « J’aimerais bien voir ta bite bander »… Je craignais cette question, donc, je n’en fus pas surpris et j’avais préparé ma réponse : « Tu rêves, avec ces gars autour qui nous mâtent, je pourrais pas »… Et pour interrompre cet échange, je me couche sur le dos et prends mon magazine…

Comprenant mon message, il fit de même. Après plus d’une demi-heure de bronzette et de lecture, c’est lui qui interrompit, de nouveau, notre silence : « J’ai chaud, tu viens, on va se baigner ». C’était aussi mon avis : « Ok », et nous nous sommes levés et pour moi, de nouveau, le plaisir de voir ses belles fesses lisses et fermes et son paquet qui y pendait… admirables, ses couilles molles avec ses deux boules…

Nous allons à l’eau et comme la progression est lente, nous marchons côte à côte, tout en nous souriant, de temps en temps…

L’eau douce, chaude à souhait, très transparente sans trop de vagues, nous arrive à la taille… et nous avons tout loisir de nous mâter réciproquement, ma petite était déjà encore plus petite, mes couilles, sous l’effet de la fraîcheur s’étaient resserrées… Pour lui, c’était de même, et je ne voyais pas bien ses couilles, je les devinais remontées vers sa tige qui, elle aussi, s’était rétrécie, mais cherchait l’horizontal…. « Tu bandes »… « Non, c’est l’eau qui te donne cette impression, elle veut flotter »…et… après un sourire et un regard complice « Tu veux te faire bander »… Seuls, au milieu de l’eau, il m’était difficile de lui sortir le même argument… j’en trouvais donc un autre : « Je crois pas que je vais y arriver, avec cette eau fraîche »… « On essaie »… et lui avait déjà sa main sur sa bite et commençait à se branler…. Il me fallut donc faire de même et à ma surprise, ça marchait… En fait, je pense que le voir se branler à 20 cms de moi, c’a dû m’exciter  et, je sentais à chacun de ses va-et-vient, l’action de l’eau mouvementée qui venait frapper mes couilles. Je pense que pour lui, ce fut de même… C’était bon… et très rapidement, en tout cas, plus vite que je ne l’aurais cru, j’ai eu une belle érection, et je lui ai présenté ma bite, bien à l’horizontal, d’abord avec le gland recouvert, puis décalotté… « Oh là, elle est super belle et super grosse… je suis surpris qu’une aussi petite queue, au repos, puisse autant grandir et grossir… Elle fait bien 3 ou 4 fois sa taille… »… « Oui, je sais, en érection elle fait 13 cms, 15, les bons jours, et son diamètre dans cet état, est tout à fait correct… ».

Quant à lui, il me présentait sa bite bien lisse, qui avait pris aussi quelques cms, mais il est clair que c’est moins spectaculaire que pour moi, puisque je pars de plus bas… Elle m’attirait vraiment, j’avais une folie envie de la toucher, de la prendre en main, de lui caresser ses couilles toutes dures… mais j’ai pas osé… et comme je ne m’occupais plus de la mienne, bien vite, elle reprit son état, au repos…

Nous avons fait encore quelques flexions dans l’eau pour nous mouiller jusqu’aux épaules… et nous avons repris le chemin de la plage.

Comme d’hab, en arrivant à ma serviette, je ne m’assois pas tout de suite. Lui fait de même, et en un éclair, je me dis, que va-t-il faire… Et, en attrapant ma main, il dit : « Viens, on va faire un tour dans les dunes ». Oui, je fus surpris, c’était le premier contact tactile que nous avions… Oui, je n’avais pas envisagé une telle demande… Il est clair qu’inconsciemment, cela faisait partie de mes désirs, surtout que je n’ignorais pas ce que signifiait son désir d’isolement… et comme il avait pris ma main, il m’était difficile de m’échapper et ce, d’autant plus que je ne le souhaitais pas… Je n’ai pas eu besoin de répondre, déjà, la main dans la main, nous marchions vers les dunes… Enfin, il me lâcha, mais j’avais nulle envie de faire demi-tour… On quitta le chemin, et encore quelques enjambées, et nous étions en pleine nature, à peine cachés par quelques arbustes… Etant donné mon expérience = 0, dans ces aventures, tout en marchant, je m’étais dit que j’allais lui laisser prendre l’initiative de la suite, et qu’il serait temps de réagir si cela prenait une tournure que je ne désirais pas…

J’ai vite repéré une petite dune qui me semblait bien pour y être assis-debout… je m’y installe donc, et je le regarde, droit dans les yeux, en lui souriant, mais lui était déjà, en train de tomber, sous les genoux en ayant son visage à 30 cms de mon sexe… « Laisse-moi faire »… Remarque inutile, il me semble que mon attitude pouvait lui faire comprendre que j’étais à sa merci et que mon souhait était bien que l’initiative lui appartienne… Je n’ai pas répondu… Mon attitude même était une réponse… : J’étais donc assis-debout, mes jambes-cuisses légèrement écartées et mes pieds bien ancrés sur le sol.

J’étais tout à lui, en quelque sorte, je lui offrais tout mon corps… Et c’est alors qu’il sut augmenter mon désir et m’apporter de bien bonnes sensations… Tout doucement, ses deux mains se sont rapprochées de l’intérieur de mes cuisses, pour y remonter, en frôlant à peine, en caressant à peine, ma peau toute lisse… Quant il arriva à la hauteur de mes couilles, encore serrées par leur passage dans l’eau, il est clair que ma bite avait déjà pris du volume et de la longueur, mais pas une érection totale… Alors, ses mains quittèrent cette zone, pour venir se mettre sur ma taille et remonter sur mes flancs… douce caresse que je ne connaissais pas, très agréable, qui me procurait des minis frissons de satisfaction.

Il arriva à la hauteur de ma poitrine et de mes tétons dont il commença de caresser la couronne, de me les malaxer avant d’en prendre un dans chaque main et de commencer à les titiller. En fait, pour lui, ce n’était pas aisé, car mes tétons sont très petits, mais il y parvint et il sut les faire grossir quelque peu…

Ce petit jeu dura quelques minutes…Je ne sais combien… La seule chose que je savais, c’est que c’était bon et qu’il savait y faire… Très rapidement, j’ai donc perdu toute appréhension, et je me suis laissé aller, je l’ai laissé faire, j’avais même envie de fermer les yeux pour mieux savourer ces moments d’excitation, mais en même temps, je voulais voir…

Voir quoi, d’abord notre environnement… désert… et aussi, lui, son visage épanoui et détendu, avec un petit sourire permanent (que je lui rendais)… et aussi, bien sûr, son entre-jambe et sa bite, pas encore très dure qui faisait des soubresauts… il est clair qu’il apprécié sa prestation presqu’autant que moi… au moins, c’est ce qui m’a semblé…

Après cette phase plus érotique que vraiment sexuelle…, mais qui préparait bien une suite… Sa main gauche quitta mon téton, pour aller prendre mon paquet de couilles par le dessous, comme pour le soupeser… Cette attention bien agréable a eu pour effet de provoquer en mon sexe, une excitation extrême qui me procura la bonne et belle érection que j’attendais et que lui aussi espérait, je pense… Pendant quelques minutes, avec douceur, il joua avec mes boules, les faisant rouler, chose pas trop aisée, compte tenu du fait qu’elles étaient, maintenant, resserrées et en train de remonter, sous l’excitation provoquée.

Malgré son excitation, ma bite ne s’était pas décalottée, mais on pouvait y deviner et voir le dessin de mon gland qui, lui aussi, était bien gros et excité…

Mon souhait aurait été de me laisser aller et de fermer les yeux… mais en même temps, j’étais désireux de voir et faire participer ma vue à mon plaisir, à notre plaisir.

Sans rien me dire, sans rien me demander, il prit dans sa bouche mon gland encore calotté, rien que mon gland… et c’est alors que sa main droite quitta mon téton, pour venir se fixer sur ma tige raide, et tout doucement, en gardant compressé mon gland, il tira sur la peau de ma bite, pour libérer doucement et progressivement mon gland dans sa bouche… Que c’était bon, à mon souvenir, aucun de mes précédents partenaires ne l’avaient fait avec autant de douceur, et je pense que le fait que j’étais assis-debout, contribuait à bien mettre en avant mon sexe pour l’offrir à ses manipulations… Il tira bien à fond, la peau de mon pénis et comme, maintenant, mon frein que j’ai sectionné, est inexistant, cela s’est fait sans aucune douleur, même quand il est parvenu à une traction maxi.

Mon gland était donc bien dégagé, légèrement compressé dans sa bouche chaude, c’est alors que j’ai senti sa langue qui cherchait à caresser la couronne de mon gland… Oh là là, que c’était bon, j’ai cru que j’allais m’évanouir, je savais que c’était bon, mais le bougre, il savait faire et il prenait son temps… ce n’était pas, lui, un novice… et comme il avait toujours dans sa main gauche, mes couilles, son mouvement de langue était coordonné avec ses pressions et les roulements qu’il affligeait à mes boules… Oh oui, que c’était bon… je le dirai jamais assez… et il n’arrêtait pas, pas même pour reprendre son souffle ou pour s’assurer de l’état dans lequel il me mettait… mais il ne pouvait pas l’ignorer car, parfois, je frissonnais et je ne pouvais m’empêcher de lui susurrer à voix basse, « que c’est bon », sans lui dire « continue », mais c’était inutile, il me semblait pas vouloir se priver et me priver… Je pense que me voir apprécier sa prestation, lui plaisait bien aussi, et maintenant, sa bite était bien raide et même remontait vers son pubis tout lisse, mais son gland était encore calotté… J’aimais le voir ainsi, c’était pour moi, le signe visible de sa satisfaction et du fait qu’il me faisait toutes ces gâteries sans aucun sentiment d’obligation…

J’aurais aimé que cela dure éternellement, mais ma raison me disait que c’était impossible et qu’il fallait me contenter du moment présent…

Il était toujours à genoux, devant moi, et ses deux mains et sa bouche s’occupaient de mon sexe et de m’apporter une (la) jouissance que maintenant je redoutais, tant j’aurais voulu que cela dure…

Sa langue jouait toujours avec mon gland et se promenait, avec délice (pour moi et pour lui, je pense) à travers les plis de mon prépuce. Chacun de ses passages sur la couronne de mon gland et sur ses capteurs de sensation, c’était pour moi, une décharge de plaisir… C’est alors qu’il commença à me branler doucement, mais il se rendit, bien vite, compte que c’était inutile, tant j’étais déjà raide et que poursuivre était dangereux s’il souhaitait continuer ses gâteries… sans me provoquer une éjaculation…

Je serais incapable de te dire combien de temps, cela dura, tant c’est doux et intense à la fois… il savait ralentir, faire de mini poses, au bon moment, afin que cela ne soit pas douloureux, afin que cela ne provoque pas l’inévitable…, l’irréparable…

Arrivés à ce stade de jouissance quasi permanente, je me suis dit que j’étais bien un ingrat, et j’ai donc, en me penchant un peu en avant, entrepris de lui caresser la poitrine… certes, je voyais rien, puisque lui-même était penché sur mon sexe, mais, il ne m’a pas été difficile d’atteindre et de caresser ses pectoraux bien dessinés et en saillis… Je voulais lui rendre un peu ce qu’il me donnait, mais, en même temps, je me rendais compte que ce n’était pas bien, car les caresses que je lui faisais, certes il devait aimer, mais elles m’excitaient aussi… « Excuse, je peux pas continuer, ça m’excite trop »… Sans même libérer ma bite, il leva les yeux qui, je les compris, me disaient… « C’est pas grave »…

J’aurais voulu que cela dure, mais maintenant, c’est toute ma tige qui était dans sa bouche et qu’il me branlait, toujours avec autant de douceur en compressant ma bite, à chaque va-et-vient, juste ce qu’il faut, pour que cela soit bon et non douloureux…

Je n’avais plus aucune notion du temps, je me suis même (hélas) surpris à fermer les yeux… C’est ce que je ne devais pas faire, je le savais, et pourtant…

C’en était trop, je sentais que cela venait, que bientôt, je ne serais plus maître de moi-même… J’ai eu la force de dire : « Ca vient »… Sans précipitation, me sembla-t-il, sa bouche et ses lèvres quittèrent ma tige, libérant ainsi mon gland… Je sentis que sa main continuait un doux va-et-vient, mais je pense qu’il n’a pas pu faire plus qu’un aller et retour…

Toujours en douceur, il dirigera ma tige, super excitée, prête à exploser… vers mon torse… et une première giclée vient s’écraser sur mon épaule, une seconde suivit, plus courte, et maintenant, par spasmes réguliers, mon sperme continuait à se répandre sur ma tige bandée et entre ses doigts… car il savait faire le bougre, et après un arrêt de quelques fractions de seconde, il avait repris, avec délicatesse et douceur, son malaxage de mes couilles et quelques mouvements de pompage de ma bite…

J’ai cru que mon orgasme n’allait pas s’arrêter… mon sperme ne coulait plus, mais les spasmes continuaient et son action les entretenait… Il était super doux ce gars, il savait vraiment y faire, c’est clair que c’est un pro de la bite… et qu’en plus il aimait ça…

Enfin, tout doucement, je repris mes esprits… il était toujours à mes genoux, il avait toujours en main mon sexe qui commençait à lui échapper et à quitter son état d’excitation… il me regardait, il me souriait… il constatait que j’étais heureux… il me disait rien, moi, j’en étais encore incapable, je lui souriais…. « Je peux »… et sans attendre ma réponse, il se pencha sur ma poitrine, pour, avec sa langue, récolter les quelques coulées de sperme de ma seconde giclée… Je le laissais faire…

Enfin et hélas… il me lâcha, se leva, et vint s’asseoir à côté de moi… Ma bite, repue, encore tout imprégnée de sperme, était maintenant au repos… La sienne avait, aussi, repris cet état, mais j’y voyais un filet de précum s’en échapper… J’ai rien dit, mais j’y ai dirigé mon doigt et s’en même le toucher, j’ai recueilli son précum et je l’ai apporté à mes lèvres… Il sourit… et nous sommes restés ainsi quelques minutes…

« Tu sais, tu es un super gars, j’ai déjà sucé, dans ma vie, pas mal de mecs, mais aucun a duré aussi longtemps… Je voyais bien que tu aimais ça, j’ai bien senti, plusieurs fois, que tu allais jouir, mais tu as su te retenir, et pour moi, ça était aussi super, car j’aime bien sucer et que cela dure longtemps… T’as vu comme j’étais, moi-même, excité, ma bite n’a pas cessé de palpiter et de produire du jus… C’était super, t’as été super… »

« Tu sais, je suis plus vieux que toi, mais en matière de sexe entre mecs, je suis très novice, j’ai eu quelques relations, mais ce que tu m’as fait, jamais je ne l’ai connu auparavant, tu as été si doux et si puissant en même temps… J’ai vite compris que tu savais faire, aussi, je me suis laissé aller, pensant bien que tu n’avais pas d’intentions mauvaises à mon égard… Oh oui, j’ai aimé et ça se voit, regarde comme petite, elle est encore gonflée… Je veux et vais te rendre la pareille, mais je crains ne pas être à la hauteur… ».

« Fais comme tu le sens, mais te crois pas obligé, tu sais, j’ai déjà passé un bon moment »…

« Oh non, j’ai aussi envie de toi, et de bien te pomper, j’aime bien sucer, et on m’a dit que je savais faire, mais je suis loin de t’égaler… J’ai bien appris, aujourd’hui… Si tu veux, tu pourras même jouir dans ma bouche, j’aime, si tu aimes… »

Comme pour m’y encourager, d’une main, il prit sa bite…, l’autre, il la passa sur mon cou et il appuya sur ma nuque pour que je me penche…

La position étant mal aisée, avant même que je m’approche de sa queue, je me mis à genoux, comme lui, l’avait fait.

Me rendant compte qu’il semblait vouloir bander, j’ai retiré sa main, pour y mettre la mienne, et de mon autre main, j’ai pris ses couilles qui étaient encore bien molles… Superbes, ces boules, bien grosses et très mobiles pour le moment… J’aime bien malaxer les boules d’un mec, assez doucement, tout en étant assez actifs, en essayant de ne pas lui faire mal… Il semble apprécier et j’ai senti sa bite qui se redressait encore plus… Je ne l’avais pas encore décalotté, mais son précum s’en échappait et les mouvements que maintenant, je pratiquais, étaient grandement facilités par cette lubrification naturelle… Pendant quelques minutes, avec douceur, j’ai fait quelques va-et vient, en faisant attention de faire apparaitre le bout de son gland, sans toutefois le décalotter entièrement… Sentant que sa consistance devait être pas loin de son maximum, je me suis penché pour prendre, en bouche, sa bite.

Je me suis d’abord, intéressé à son gland en y introduisant ma langue afin qu’elle puisse tourner tout autour, sans que pour autant, il se décalotte… J’ai pu, avant même le voir, constater que son gland était tout lisse, sans aspérités sur sa couronne… il avait aussi un frein bien présent, et je me disais… il va falloir que tu fasses attention en le tirant afin de ne pas lui faire mal…

Cà y est, mes lèvres, maintenant, entouraient tout son gland décalotté, et je commençais à essayer d’engloutir toute sa tige…  Sans trop de difficulté, j’ai réussi à faire rentrer dans ma bouche ses 15/17 cms et son calibre, aussi gros que le mien… Avec ma langue tendue, j’essayais et réussissais à chatouiller son urètre… il commença à s’agiter… il est clair qu’il aimait… Moi aussi, j’aimais, malgré cette bonne éjaculation, pas si lointaine, ma propre bite reprenait du volume et de la longueur… certes la dureté n’était pas (encore) là…

Mais, lui, il commença à geindre, doucement, puis plus fort, sans aucune retenue… moi, j’étais gêné, et j’ai ralenti mon action sur sa tige et son gland, mais comme lui l’avait fait, j’ai fait en sorte que, jamais, elle ne sorte de ma bouche, je l’ai gardé bien au chaud, reprenant mes petits mouvements de langue pour entretenir son excitation… En le regardant, je me rendis compte qu’il avait fermé les yeux et qu’il s’abandonnait, tout à moi… J’ai aimé, cet abandon et la confiance que cela manifestait, à mon égard…

Pour parfaire mon action, mes mains quittèrent son sexe et vinrent lui caresser la poitrine, les tétons, ses pectoraux musclés… il aima, je l’ai senti… J’avais toujours en bouche sa bite et du mieux que je pouvais, je faisais en sorte d’entretenir son excitation… à aucun moment, je ne l’ai sentie retomber, sa bandaison… Cette situation m’excitait, moi aussi, surtout ses petits râles de satisfaction et sa façon de frissonner et de se trémousser, tout doucement en frottant ses fesses nues sur le sable… Je trouvais cela super bon, j’étais tout moi-même, tremblant, tant j’étais affairé à lui faire le maximum de plaisir…

C’est alors que j’ai libéré une de mes mains pour la descendre sur ses abdos, bien dessinés, et sur son pubis tout lisse… en y exerçant une pression douce, je me rendis compte qu’il râlait, appréciait, encore plus… J’étais perdu, je ne savais plus quoi faire, à chacune de mes gâteries, c’était, de nouveau, une manifestation de sa satisfaction… J’étais très actif et, il faut en croire, très persuasif… mes mains naviguaient sur tout son corps, j’avais dans la bouche, sa bite que je pompais doucement, m’efforçant, à chaque seconde, d’utiliser soit ma langue, soit mes dents, soit les deux, pour varier et accentuer mon action. Par inadvertance, une fois, j’ai laissé échapper sa bite… elle est venue se plaquer sur son pubis… Bien sûr, je l’ai reprise, mais, j’en ai été surpris, pour ma part, avec l’âge, ça fait bien longtemps que même bien excitée, ma bite ne parvient plus à remonter  jusqu’au pubis…

Quant à moi, je sais pas trop comment cela s’est produit, mais maintenant, bien qu’étant toujours à genoux, je me trouvais les cuisses écartées et mon sexe, ma bite, dressée un max en avant… et elle n’arrêtait pas de sautiller… j‘avais jamais connu une telle excitation, surtout après une telle éjaculation…

Je m’efforçais de maintenir la pression, assez pour qu’il aime, pas trop, pour éviter que cela cesse… et qu’il éjacule…

Notre jeu que je qualifierai de bien désordonné… se poursuivit pendant de longues minutes…

« Oh, je crois que je vais jouir »… Par le regard, je l’ai imploré avec des yeux qui lui disaient, si tu veux, c’est toi le maître…

« Oui, ça vient »…  il tenta de me repousser… en vain, j’étais prêt et j’attendais ce moment. Pour bien lui faire comprendre que je souhaitais recevoir son sperme, d’une main, je lui ai pris les couilles et de l’autre, j’ai retenu sa tige, pour qu’elle ne m’échappe pas…

Superbe sa giclée, je l’ai senti arriver au fond de ma gorge, puis ce fut une seconde, suivie d’une troisième… M’étant arrêté de respirer pour le recevoir, j’allais suffoquer… Combien en avait-il produit ? D’un coup de langue, sans que sa bite sorte, déjà de ma bouche, je lui ai lavé le gland… et je l’ai libéré… J’avais la bouche pleine, et j’étais pris entre le désir de garder ce jus chaud et entre la nécessité de l’avaler, si je voulais sortir de mon état de quasi paralysie… Je décidais donc d’avaler, tout d’un coup, ou presque, en deux aspirations… Pendant ce temps, ma main continua de jouer avec sa tige toujours raide et son prépuce que je ramenais avec délice sur ce gland encore bien rouge et gros… Voyant que cela lui plaisait et qu’il me laissait faire… j’ai repris en bouche toute sa queue que j’ai eu le plaisir de sentir redescendre, alors que je n’avais pu la faire grossir, puisqu’il me l’avait préparée…

Oh que c’était bon, ces instants de détente, après de telles excitations… ma bite avait, aussi, repris une taille plus « honnête »…

Côte à côte, nous sommes restés ainsi, un bon moment… et c’est seulement à ce moment-là que j’ai, du regard, contrôlé notre environnement… Non, il n’y avait pas autour de nous des mâteurs…  Ces instants, cet échange, nos jouissances n’ont été que pour nous…

« Et tu m’as dit que tu étais novice… »… « Ben oui, tu dois être la quatrième ou la cinquième bite que je suce… et j’ai 65 ans… »…. « Tu rigoles, c’est pas possible, crois-moi, certes par moment, je savais pas trop où tu voulais en venir, mais ce fut super bon, et rarement, j’ai pris autant de plaisir à être sucé et pompé, je crois que tu as un don… »… et il se mit à rire, je fis de même, et cela a fini de détente l’atmosphère et à nous faire reprendre nos esprits…

« Allez, viens, on va se laver »… et nous en avions bien besoin… Nos corps étaient couverts de sueur, due autant au soleil qu’à nos activités, je pense…

Joignant le geste à sa parole, il se leva, et me tendit la main, pour m’aider à me relever. Elle n’était pas nécessaire, mais j’ai apprécié son geste…

Tout en nous dirigeant vers l’eau, nous avons échangé quelques mots : « Tu sais, ce matin, quand je t’ai abordé, je n’avais pas en tête cette partie… J’étais très content de trouver un français dans cette multitude d’allemands… Mais dès le départ, ta petite bite m’a surpris et je l’ai trouvé bien mignonne, ton tatoo m’a aussi surpris, je me demandais bien quel genre de type tu étais… Quand j’ai vu et senti tes réticences à plusieurs reprises, cela a titillé mon ego… et c’est seulement à ce moment-là que je me suis dit qu’une partie de gâteries, ce serait bien sympa… Je m‘étais pas fait de programme… on verrait comment les choses tourneraient… »… « Il est vrai qu’avant même que je me rende compte que tu étais français, comme j’aime mâter, j’avais repéré ta belle bite, tout comme j’aime, pas trop longue, mais pas petite, pas trop grosse, débarrassée de tout poil, et en plus tu as un corps de rêve, tout comme j’aimerais en avoir un, pour moi… J’ai flashé, sur toi… et quand tu m’as apostrophé, j’étais surpris, mais ravi… A aucun moment, alors, je n’ai pensé à plus… et effectivement, compte tenu de mon inexpérience, j’étais sur mes gardes… Mais sache que je ne regrette rien, tu as été si doux, tu as été si merveilleux que ce jour restera gravé dans ma mémoire, à jamais »…

Nous arrivions dans l’eau… maintenant nous y étions jusqu’à la ceinture… « Laisse-moi faire »… Toujours avec douceur, il prit mon sexe, entre ses mains et commença à le frictionner pour le débarrasser de mon sperme bien sec… C’était bon et c’est tout juste, si je n’ai pas recommencé à bander… puis, il me  passa la paume de sa main, sur ma poitrine pour s’assurer qu’il ne restait plus rien… Une fois qu’il eut fini, j’ai fait de même sur lui… J’espérais bien que j’allais le faire bander… mais non, rien que sa belle bite molle entre mes doigts…

Une fois ses ablutions finies, nous avons repris le chemin de la plage et du sable chaud, nos serviettes étaient toujours là… Sans plus attendre, je m’y suis couché sur le dos… Lui fit de même… J’ai à peine eu le temps de lui dire : « Tu m’as vraiment comblé, je suis super heureux »… et je me suis endormi…

Quand je me suis réveillé, il n’était plus là… Je ne connais pas même son prénom, je ne sais de quelle région, en France, il est… Je lui avais offert mon corps, il m’avait offert son corps… et il est clair que je ne pouvais en avoir que des bons souvenirs….

Domi (domi.38660@gmail.com)

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Dis-moi si tu as aimé...

Est-ce que je t'ai fait fantasmer, bander, jouir ?

 

 

Par rienquepourmater - Publié dans : Récit hard
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