Au sauna (une autre fois)
Dans plusieurs endroits de ce sauna, il y a des banquettes où on peut s’asseoir…
A un moment, je vois un gars, pas mal, mais un peu bedonnant, assis sur une banquette… alors qu’on est un jour « 100 % nu », il a mis sa serviette sur son sexe… pas cool… Etant par nature un peu provoc, je me suis assis à côté de lui, sans lui cacher que mon matos est mini… et même, pour le rentre plus visible, en m’asseyant, j’ai passé ma main sous mes couilles afin qu’elles ne soient pas coincées entre mes cuisses, mais pour y reposer… Si je fais cela, à la maison, il est clair que ma petite bite disparait dans mes couilles, mais là, au sauna, après de nombreuses bandaisons… il est clair que si ma bite diminue bien, mon petit bout reste gonflé et donc, pour le moins, même assis ainsi, mon gland reste visible…
Comme il s’est pas enfoui (ça arrive)… je lui montre sa serviette et lui dis : « Pas cool »… il sourit (cool)… et hardi comme je le suis quand je me sens en confiance, je glisse ma main sous sa serviette… pour y rencontrer… un mini zob… une bite vraiment mini, me semble-t-il, il me sourit toujours, en m’indiquant ainsi qu’il avait compris que j’avais compris, pourquoi sa réserve…
Sans hésiter, je lui murmure à l’oreille, on va dans une cabine, il me fait signe qu’il accepte… je lui dis, va devant, je ne connais pas bien les lieux… Il se lève, se cache, je le suis, ne me cachant pas… et il me conduit dans un recoin, au 3 ième ou 4ième étage, où il trouva une petite cellule, avec un lit bien haut… il monta dessus, en inspectant les lieux, je me rendis compte qu’il y avait un trou d’une dizaine de centimètre dans la cloison… (pourquoi, à vérifier). Bref, il se couche sur le lit, se découvre (enfin) et me présente sa mini bite… la mienne est petite….mais grosse, la sienne était super mini, pas longue, très fine, sans touffe, quelques poils épars… Sans difficulté, je la prends entre deux doigts en vue de la porter à ma bouche. C’est très surprenant d’avoir une petite bite (de gamin) dans la bouche, car même lorsqu’elle banda bien dure… elle était toujours petite… maxi 4/5 cms…, avec des couilles serrées et pleines, pas celles d’un gamin… ! En fait, il me laissa jouer avec… et je me suis pas privé, je la suçais comme si j’avais une sucette dans la bouche… Avec difficulté, j’ai introduit le bout de ma langue dans son petit bout, pour atteindre le méat… Me rendant compte que je n’arrivais pas à décalotter son gland, j’ai cessé ma succion, pour essayer de le faire avec mes doigts… Il/elle bandait bien, mais pas possible de la décalotter… Surpris, je l’ai regardé, alors il me dit, « tu y arriveras pas, moi-même, je n’y arrive pas »… J’ai pas insisté, et j’ai continué à m’occuper d’elle, parfois en la suçant avec application, soit en la branlant en douceur, la peau de sa bite coulissait bien sur toute la (petite) longueur de sa tige, mais quand il s’agissait de découvrir le gland… ça bloquait, comme s’il y avait un arrêt… Intrigué, je l’ai questionné, mais pourquoi tu restes comme ça, tu pourrais te faire circoncire…et tu pourrais avoir une sexualité « normale »… et bien te branler… « T’inquiète, je suis habitué, et ça n’empêche rien… ». Toujours surpris, je l’ai entendu me dire, je voudrais que tu me fasses jouir… A vrai dire, dans mon esprit, cela me semblait une mission impossible… Branler une petite bite de gamin, encore imberbe, ce n’est pas mon truc… Et pour me convaincre, il fit le pont (en soulevant ses fesses)… Pour l’aider à maintenir cette position, j’ai mis ma main sous ses fesses fermes… De l’autre, j’ai pris sa petite… Non, pas avec ma main, mais avec deux doigts… J’étais surpris, content de le faire et en même temps gêné… Oui, branle-moi bien, je veux jouir dans tes doigts… Encouragé, j’ai mis ma gêne de côté… et j’ai entrepris de bien le branler… C’était super excitant de voir ce petit sexe et ses boules (serrées, car excitées) attachées à cette mini tige qui bougeait bien…. Ma masturbation dura quelques minutes, il s’était rassis, en fait sur ma main, je l’ai laissé là… et tout à coup, il se redressa, je l’aide… et voilà qu’il gicle… Profitant de ce moment de laisser-aller et de jouissance pour lui… j’ai tenté, d’un coup sec de décalotter son gland… je suis arrivé à mi-course de son petit gland grossi et rose vif, tant il a été compressé lors de mes va-et-vient masturbatoires… il ne remarqua pas mon insistance, mais en vain… pas possible de dégager sa couronne… Paisiblement, il reprend ses esprits, d’une seule main, je couvre ses couilles et sa petite queue, avec douceur, je les pelotte…
Il s’apprête à descendre du lit, se recouvre, me dit merci… et me quitte…
Pendant ce quart d’heure ou plus que j’ai passé avec lui, à plusieurs reprises, j’ai senti ma bite se redresser… à aucun moment, je l‘ai aidé, tant j’étais absorbé à gâter cette petite… Si bien, lorsqu’il me quitta sans m’avoir fait quoi que ce soit, je n’ai pas eu le sentiment de frustration que je connais souvent, en de telles circonstances…
Curieux de nature, une fois seule, je suis passé dans la cabine d’à côté, pour connaître l’usage de ce trou… Vu la hauteur, je lui trouve deux usages : soit on peut mâter ce qui se passe dans la cabine que nous occupions, tout en se branlant, soit on pouvait s’en servir comme hole glory, le sucé se mettant à genoux sur le matelas de notre cabine. Cette cabine étant un peu plus grande que l’autre, et sans matelas, on peut imaginer un gars qui suce et se fait sucer par un autre…
Je me décide à « visiter » systématiquement les lieux… Tout ce que l’on peut souhaiter est là… beaucoup de cabines normales, certaines, très grandes, certaines avec glace dépolie, des slings, des hole glory pour bite et pour cul, même une douche « pour soins intimes », des cages, une salle avec lit central avec des banquettes sur les côtés, pour ceux qui aiment se montrer et pour ceux qui aiment mâter les débats des autres…, plusieurs salles vidéos… et sexe…, même une salle « fumeurs »… bien enfumée…
Ce type de sauna, en fait, tous les saunas à tendance « gay » sont remplis de gars qui sont plus voyeurs qu’acteurs…il y a beaucoup de mecs qui te présentent leur cul, souvent tu peux constater que tu seras pas le premier… il y a beaucoup de gars qui circulent, avec ou sans serviette (journée 100 % nu), chaque fois, je m’arrangeais pour les frôler, voire les coincer et tenter de toucher… c’est quasi chaque fois un refus ou au mieux, la possibilité de faire quelques caresses à leur queue pendante qui ne bande pas en cette occasion. Il y a aussi beaucoup de rejet « anti-vieux », « anti-bedonnant », « anti petite bite », donc j’ai beaucoup d’occasion de me faire jeter… mais comme beaucoup se font jeter… je ne suis pas une exception… et souvent, je me demande pourquoi un tel est là… il n’a rien de spécial, je n’ai rien à lui envier… et pourtant, il refuse mes avances et ma collaboration à l’amener au plaisir… Même si je ne demande pas de retour, bien que s’il a lieu, je ne refuse pas…pourquoi me refuser sa bite, puisqu’il me semble que si on est là, c’est pour la même chose : prendre du plaisir entre mecs…
En faisant ma visite, je tombe sur une cabine très grande, un gars y est couché sur le dos, les jambes un peu écartées, son sexe bien exposé, avec une mini touffe, mais un beau sexe au repos, un peu long, couché sur sa cuisse… Le gars est jeune (25/30 ans), il a les yeux fermés… visiblement, il est en attente et s’offre… J’hésite peu, je vais vers lui, je me mets à genoux sur son grand matelas, je caresse l’intérieur de ses cuisses, une main sur chaque cuisse, et sans traîner, j’arrive à ses couilles et à son longue queue, sans m’attarder aux couilles, je prends en main sa tige et après quelques mouvements masturbatoires, elle se redresse et grossit… Entre temps, il avait ouvert les yeux pour voir à qui il avait à faire… pas de rejet… cool
Encouragé par ce regard approbateur, je décide de m’occuper de sa belle bite, déjà raide, sans aucun pli, avec un gland bien dégagé grâce à la circoncision et de ses couilles molles… je me penche et je commence mes succions, mon pompage régulier, en portant une attention particulière à la couronne de son gland dont les petits ergots, tout autour, sont maintenant bien excités… Superbe ce gland rouge qui tranche par rapport à sa tige blanche…
C’est alors que rentre dans la cabine un jeune mec, même âge que le gars dont je m’occupe, visiblement, il est vexé de me voir là, je comprends qu’en fait, mon gars l’attendait… et que moi, j’avais comblé son absence… L’arrivant me repousse quelque peu, je ne résiste pas, mais je ne quitte pas les lieux… Il prend ma suite, il s’est aussi agenouillé sur le matelas, il s’occupe de la bite du gars, vite, je constate qu’il bande… pas mal… Son sexe est moins beau que celui de son copain, mais ne faisons pas le difficile, je me glisse entre eux, j’ai la tête sur le matelas, et en la soulevant un peu, j’arrive à attraper sa bite… Je pense qu’au début, pendant quelques secondes, il ne s’en est pas rendu compte… Arrêtant toute action… il m’observa, observa son copain qui lui dit… « laisse faire, pompe-moi»… Cette approbation m’a satisfait… Un peu coincé, entre eux deux, j’ai quand même pu mâter le gars ou plutôt son sexe… Circoncis aussi, bien veiné avec des veines en saillis, pas de couilles, ou, sous l’excitation, elles étaient rentrées dans son bas-ventre, donc je ne voyais que sa tige raide que j’enfournais avec plaisir et satisfaction de nous deux, je pense… Un peu las de cette position mal commode et comme je pensais que je ne serai pas un troisième acteur (récompensé), je décide de quitter le champ de bataille et de laisser ces deux jeunes gars, entre eux, pour le meilleur (et le pire – qui sait)…
Toujours dans ma visite, je suis arrivé dans un espace, doté d’une mezzanine… De là-haut, un mec mâtait la vidéo gay, (sans véritable intérêt), tout en se branlant… Pour moi, c’était un invit, je monte donc le rejoindre et sans demander la permission, je mets un genoux en terre, pour être à la bonne hauteur, celle de sa bite raide… je retire sa main, et je la prends en bouche… il me laisse faire, mais je comprends que c’est pas cela qu’il souhaite, je me relève donc, et je me mets derrière lui, ma bite bien excitée contre ses fesses… D’une main, je saisis sa tige pour la branler… Il apprécie… Avec mon autre main, je cherche sa raie, je descends de sa chute de rein, je descends sa raie, je chatouille sa rondelle, je trouve son trou, trop serré pour essayer d’y pénétrer, je poursuis ma route, en forçant le passage de son entrejambe… qu’il écarte, me voilà en train de masser son périnée, et je lui attrape les couilles, donc par-dessous, par derrière… il aime le bougre, il gesticule, le regard fixé sur la vidéo, sans me manifester aucune attention ou reconnaissance… Osant le tout pour le tout, un peu vexé par ce manque d’intérêt pour celui qui le gâtait…, je lâche son matos, le distributeur de gel étant à ma portée de main, j’en extrais une bonne dose… et sans perdre un instant, je lui enduits la rondelle et j’y introduis un doigt… le passage est bien fermé, mais avec le gel et un peu d’énergie, mon index y rentre au maximum du possible, je sens que ses sprinters sont rebelles et voudraient rejeter mon doigt… Oui, je le ressors, mais c’est pour en faire rentrer deux… enfin je sens qu’il s’ouvre… Le voilà pris entre deux étaux… mes doigts, ma main qui le pistonne et donc retient son derrière, pendant que mon autre main le branle avec frénésie… Mon action intéresse des voyeurs qui sont en dessous de la mezzanine, eux-mêmes se branlent de satisfaction… Mon gars, quant à lui, me laisse faire, sans approbation, mais aussi sans opposition… et ce qui devait arriver, arriva… le voilà qu’il asperge les gars en dessous… Toujours pas de réelle réaction… à croire que j’ai branlé un automate sans âme… Je t’avoue que j’étais un peu vexé… j’aime bien sentir, entendre, vivre la jouissance de celui que je fais jouir… Oui, vexé, je retire les doigts de son cul, je les essuie dans sa serviette qui était là à terre… Je lâche sa bite qui débandait… je n’ai pas eu besoin de l’essuyer, tout son foutre était parti, en jet, sur l’étage de dessous… Sans aucun commentaire, j’ai fait un demi-tour, pour le quitter… Aucun des voyeurs n’a essayé de me retenir… J’étais de nouveau déçu…
En redescendant, je suis passé devant la salle avec le tapis/matelas destiné à recevoir les ébats de mecs exhibes…l’un enculant l’autre, par derrière, avec application et méthode… Il y avait déjà un voyeur qui était debout à côté d’eux, en train de se branler… Etant du style entreprenant, j’ai essayé de branler un peu la bite demi-molle de l’enculé… Il ne me laissa pas faire, mais me (nous) dit… « Branle-toi et asperge-moi ». J’étais près de mon heure de sortie… alors pourquoi pas… Je n’ai pas eu trop à m’appliquer, ma bite avait été, pendant ce séjour au sauna, à plusieurs reprises, à la limite de l’éjaculation et de la jouissance… alors que c’est à ce moment-là que je lui demandais, pourquoi me la refuserait-elle ?
Le voyeur d’à côté a joui avant moi et à asperger son dos, l’enculeur, excité par notre vue, et par son pistonnage du cul, se retira, retira son préservatif et aspergea ses reins et le haut de ses fesses… Puis ce fut mon tour… en fait, malgré que ce ne soit pas calculé… voilà que mon jet atterrit sur son visage, un jet, puis un second, puis plus rien… Il me fallut arrêter de me branler… ma bite était douloureuse, me faisait mal… malgré ou à cause d’un reliquat d’excitation… Ce qui ne l’empêcha pas de rétrécir, bien trop vite… à mon goût… L’enculé aspergé était tout heureux, il n’avait pas encore joui, mais il avait aimé nos prestations… Il se mit sur le dos… et commença sa branle, avec vigueur et frénésie, jusqu’à l’explosion qui ne tarda pas… Nous nous sommes regardés, savourant notre bonheur perso et collectif… C’est moi qui ai quitté la salle… pour rejoindre le vestiaire… et quitter les lieux…
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires